Pouvons-nous vraiment être sauvés en croyant en Dieu en notre cœur et en le confessant avec la bouche?
Question : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut » (Romains 10, 9-10).
Donc, nous croyons que nous avons été sauvés par notre foi dans le Seigneur Jésus et qu’une fois sauvés, nous sommes sauvés pour toujours. Quand le Seigneur viendra, nous entrerons dans le royaume des cieux. Notre compréhension est-elle juste ?
Réponse : La majorité des croyants de nos jours, interprètent les Écritures ci-dessus de cette manière : Nous serons sauvés une fois que nous croyons au Seigneur. Tant que nous nous accrochons au nom du Seigneur Jésus et que nous tenons bon jusqu’à la fin, quelles que soient nos souffrances, nous serons sauvés. Quand le Seigneur viendra, Il nous emmènera dans le royaume des cieux. Cette pensée est-elle défendable et conforme à la vérité ? Ayons un partage autour de cette question.
« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut » (Romains 10, 9-10). Nous savons tous que ces versets ont été dits par l’apôtre Paul, mais ils ne sont totalement pas correspondants à la parole du Seigneur. Le Seigneur Jésus n’a jamais dit qu’on peut entrer dans le royaume des cieux après avoir été sauvé par la foi. Au lieu de cela, Il a dit : « n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7, 21). Seul le Seigneur Jésus garde la porte du royaume et seule Sa parole est la vérité et la norme pour l’entrée de l’homme dans le royaume des cieux, alors que la parole de l’homme ne l’est pas. Nous disons que nous sommes « sauvés par la foi », mais ce « salut » signifie seulement que nos péchés sont pardonnés, et nous ne serons pas condamnés ou mis à mort par la Loi. Cela ne signifie pas que nous avons rompu avec le péché ou que nous avons été purifiés en pratiquant les paroles de Dieu, et encore moins que nous pouvons entrer dans le royaume des cieux. Nous avons été pardonnés de nos péchés en croyant au Seigneur Jésus, mais la nature de résistance et de trahison à Dieu demeure toujours en nous. Lorsque nous vivons quelque chose de désagréable, comme des catastrophes naturelles ou causées par l’homme, des maladies, des persécutions et des tribulations, nous pouvons toujours nous plaignons et mal comprendre Dieu. Certains ont déjà cru au Seigneur, mais ils poursuivent les tendances du monde, profitent avidement d’un bonheur plein de péchés et pèchent encore souvent et résistent à Dieu. Comment serait-il possible à de telles personnes d’entrer dans le royaume des cieux ? Le Seigneur est saint et juste, Il ne fait aucune exception. Seigneur Jésus a dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l’esclave ne demeure pas toujours dans la maison ; le fils y demeure toujours » (Jean 8, 34-35). De toute évidence, si nous ne pouvons pas rompre avec le péché, nous ne pourrons pas entrer dans le royaume des cieux. Ainsi, l’affirmation qui dit « On peut entrer dans le royaume des cieux après avoir été sauvé par la foi » va à l’encontre de la parole du Seigneur Jésus. Au cas contraire, Il n’aurait pas dit ces paroles : « Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7, 21).
D’où vient alors le concept du « salut » ? Sa vraie signification est-elle ce que nous imaginons ? En y repensant, quand Dieu créa Adam et Ève, il n’y avait pas de mort du tout, et ainsi, pour eux, il n’y avait rien qui correspondait à l’expression « être sauvé ». Après avoir péché, l’homme a commencé à connaître la mort. C’est alors que le concept du « salut » a vu le jour. Quand les Israélites étaient esclaves en Égypte, Dieu a demandé à Moïse de les délivrer de l’esclavage de Pharaon et de les conduire au bon pays de Canaan. À cette époque, les Israélites furent sauvés en rompant avec l’esclavage du pharaon égyptien. Lorsque Dieu décréta les lois et les commandements pour guider la vie de l’homme sur la terre, tant que l’homme pouvait les garder et offrir des sacrifices à Dieu après avoir péché, il était, alors, sauvé. Par conséquent, « être sauvé » à l’ère de la Loi signifiait que l’homme avait obtenu la bénédiction et la protection de Dieu en respectant les lois de l’Éternel. Ce salut permettait aux gens de savoir ce qu’était le péché, mais leur comportement pécheur n’était pas résolu pour autant. Par conséquent, à la fin de l’ère de la Loi, l’homme ne pouvait pas respecter les lois et offrait des sacrifices de bovins ou agneaux boiteux ou aveugles sur l’autel des sacrifices. Selon la Loi, il aurait été condamné et mis à mort. Cependant, comme Dieu ne pouvait supporter de voir tous les hommes mourir sous la Loi, Il s’est incarné pour la première fois dans un tel contexte et a été cloué à la croix pour l’homme en tant qu’offrande du péché de l’homme. En conséquence, l’homme avait seulement besoin de prier, de se repentir et de se confesser au Seigneur Jésus pour être pardonné de ses péchés et n’était plus condamné et exécuté par la Loi. C’est ce que cela signifiait d’être sauvé à l’ère de la Grâce.
L’œuvre de Dieu se fait selon l’ère et l’étape, au lieu d’être immuable. Par conséquent, l’homme est tenu de suivre le rythme. Si nous ne suivons pas les pas de Dieu, nous ne pouvons pas être sauvés et serons éliminés par Son œuvre.
Lorsque le Seigneur Jésus commença à faire Son œuvre, les pharisiens ne connaissaient pas ce principe de l’œuvre de Dieu, mais vivaient dans une conception imaginaire de la vérité et s’en tenaient aux paroles des Écritures : « Alors quiconque invoquera le nom de l’Éternel sera sauvé » (Joël 2, 32). Selon eux, il suffisait d’obéir à la Loi pour être sauvé. Ainsi, ils n’ont pas cherché ou enquêté sur la nouvelle œuvre du Seigneur Jésus, mais l’ont rejeté et y ont résisté. En fin de compte, ils ont été punis et maudits par Dieu. Certes, ils n’ont pas été sauvés malgré leur confiance en elle. Le résultat obtenu par les pharisiens ne pas appel à notre réflexion ? En ce qui concerne les Écritures : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut » (Romains 10, 9-10). Le salut ici se réfère au pardon des péchés de l’homme à l’ère de la Grâce, pour atteindre que l’homme soit qualifié pour venir devant Dieu et prier, communier avec Dieu et jouir de la grâce abondante et de la vérité de Dieu. Mais la racine du péché de l’homme n’a pas été enlevée et il peut encore pécher indéfiniment, alors on ne peut pas dire que l’homme a vraiment été sauvé.
Alors, les frères et sœurs de toutes les confessions religieuses vivent dans le péché involontairement et personne n’en est exempté. Les tempéraments sataniques, comme l’arrogance, la cupidité, la malveillance, l’égoïsme et la ruse, peuvent tous être vus en nous, et nous y sommes déjà habitués. Les gens qui ont cru au Seigneur depuis des années ont connu un fait : bien que nos péchés soient pardonnés par le Seigneur, nous pouvons toujours commettre des péchés malgré nous. Nous disons encore des mensonges pour chercher la fortune, la renommée et une bonne position. Nous sommes arrogants et n’acceptons pas la vérité. Lorsque des calamités nous arrivent, nous nous plaignons et trahissons Dieu. Bien que nous parlions souvent d’honorer Dieu comme étant grand, nous adorons encore et suivons l’homme dans nos cœurs. Parfois, pour obtenir un poste, nous essayons de nous exalter nous-mêmes et de nous mettre à la place de Dieu pour que les autres regardent à nous. Pire encore, nous nous séparons en factions, formons des cliques et établissons nos propres royaumes indépendants. On peut voir que, avec la nature satanique, nous ne pouvons pas entrer dans le royaume des cieux même si nos péchés sont pardonnés. Ces manifestations suffisent à prouver que nous sommes toujours du côté de Satan, ne sommes pas vraiment sauvés et sommes des ennemis de Dieu, faits pour lesquels nous serons sûrement condamnés et punis par Dieu. Comme le dit la Bible: « Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles » (Hébreux 10, 26-27).
Le tempérament de Dieu est juste et saint, alors Il nous demande de rompre avec le péché et à être purifiés et changé. Cela est mentionné à plusieurs reprises dans la Bible : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur » (Hébreux 12, 14). « et dans leur bouche il ne s’est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles » (Apocalypse 14, 5). « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait » (Matthieu 5, 48). Ces versets nous disent clairement que les personnes qui peuvent entrer dans le royaume des cieux sont sans péché, pures et sans tache. Il suffit de penser : Dieu peut-il amener des hommes aussi sales et corrompus que nous dans Son royaume ? Ces personnes sont-elles dignes d’être admises ? À propos de ces questions, la parole de Dieu nous montre une réponse définitive. Dieu dit : « Tu as raté une étape dans ta foi en Dieu : tu as simplement été racheté, mais n’as pas été transformé. Pour que tu sois selon le cœur de Dieu, Dieu doit personnellement te transformer et te purifier ; si tu es seulement racheté, tu seras incapable d’atteindre la sainteté. De cette façon, tu ne seras pas qualifié pour partager les bénédictions de Dieu, car tu as raté une étape de l’œuvre de la gestion de l’homme par Dieu, qui est l’étape clé de la transformation et du perfectionnement. Et donc toi, un pécheur qui vient d’être racheté, tu es incapable de recevoir directement l’héritage de Dieu » (Extrait de « Concernant les appellations et l’identité »). « À l’époque, l’œuvre de Jésus était la rédemption de toute l’humanité. Les péchés de tous ceux qui croyaient en Lui étaient pardonnés ; tant que tu croyais en Lui, Il te rachetait ; si tu croyais en Lui, tu n’étais plus un pécheur, tu avais été relevé de tes péchés. C’est cela que signifiait être sauvé et être justifié par la foi. Pourtant, il y avait un reste de rébellion et d’opposition à Dieu chez ceux qui croyaient et cela devait être retiré lentement. Le salut ne signifiait pas que l’homme avait été complètement acquis par Jésus, mais que l’homme n’appartenait plus au péché, que ses péchés avaient été pardonnés : à condition que tu croies, tu n’appartiendrais plus jamais au péché » (Extrait de « La vision de l’œuvre de Dieu (2) »). Les paroles de Dieu sont très claires. La racine des péchés est toujours en nous même si nos péchés ont été pardonnés. Bien qu’aucun d’entre nous ne soit disposé à pécher subjectivement contre le Seigneur, nous commettons des péchés malgré nous. C’est comme couper les poireaux ; ils sont coupés encore et encore, mais ils repoussent à chaque fois. Par conséquent, nous avons encore besoin de Dieu pour nous débarrasser du tempérament corrompu de résistance et de désobéissance à Son égard.
Nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes, alors nous devons accepter le salut de Dieu. Il est dit dans la Bible : « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi » (Éphésiens 2, 8). De ce verset, nous pouvons voir que « être sauvé » est, d’une part, à cause du salut de Dieu survient à l’homme et, d’autre part, à cause de notre foi. C’est-à-dire que lorsque l’œuvre de salut de Dieu nous parvient, nous devons croire et suivre afin d’être sauvés. La parole de Dieu dit : « La chair de l’homme est de Satan, elle est pleine de tempéraments désobéissants, elle est déplorablement souillée, c’est quelque chose d’impur. Les gens convoitent trop la jouissance de la chair, il y a trop de manifestations de la chair et donc, Dieu méprise la chair jusqu’à un certain point. Lorsque les gens quittent les choses souillées et corrompues de Satan, ils gagnent le salut de Dieu. Mais s’ils restent incapables de se dépouiller de la souillure et de la corruption, alors ils seront encore sous le domaine de Satan. La connivence, la tromperie et la malhonnêteté des gens sont des choses de Satan ; en te sauvant, Dieu te sépare de ces choses et l’œuvre de Dieu ne peut pas mal tourner et elle est tout orientée à sauver les gens de l’obscurité. Lorsque tu as cru à un certain point et que tu peux te départir de la corruption de la chair, et que tu n’es plus enchaîné par cette corruption, n’as-tu pas été sauvé ? Quand tu vis sous le domaine de Satan, tu es incapable de manifester Dieu, tu es quelque chose de souillé et tu ne recevras pas l’héritage de Dieu. Une fois que tu as été purifié et rendu parfait, tu seras saint, tu seras normal et tu seras béni par Dieu et agréable à Dieu » (Extrait de « Pratique (2) »). Les paroles de Dieu nous montrent le chemin vers le royaume des cieux. Ce n’est qu’en acceptant cette étape de l’œuvre de jugement et de châtiment de Dieu dans les derniers jours que nous pouvons être purifiés et sauvés et entrer dans le royaume des cieux. Si nous sommes satisfaits par le salut par la foi, alors nous sommes simplement assis passivement à attendre la destruction. Parce que cette étape de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours consiste à mettre fin à l’ère et de séparer tout en fonction de leur genre et de récompenser le bien et de punir le mal ; c’est la dernière œuvre pour sauver l’humanité et elle mettra fin à tout. Ceux qui sont incompatibles avec Dieu et qui refusent d’accepter Son œuvre dans les derniers jours, ainsi que les méchants résistant à Dieu, seront tous détruits, inaltérable par toute personne.
Les paroles de Dieu disent : « Après la fin de l’œuvre de Dieu, parmi toutes Ses créatures, il y aura les gens qui seront détruits et ceux qui survivront. Ceci est une conclusion inévitable de Son travail de gestion. Personne ne peut le nier. Les malfaiteurs ne peuvent pas survivre ; ceux qui Lui obéissent et Le suivent jusqu’à la fin sont certains de survivre. Comme ce travail est celui de la gestion de l’humanité, il y aura ceux qui restent et ceux qui sont éliminés. Une fin différente existe pour tous les différents types de personnes, et ces arrangements sont les plus appropriés pour Ses créatures. » (Extrait de « Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble »)
Les paroles de Dieu nous disent clairement qu’il y aura des créatures qui seront détruites et des créatures qui survivront lorsque Son œuvre sera terminée. De nos jours, Dieu a repris l’œuvre de l’Esprit à travers l’univers et a œuvré sur ce groupe de personnes qui ont accepté Son œuvre des derniers jours. Ce n’est que lorsque nous suivons les pas de Dieu, acceptons Son jugement et Son châtiment, notre corruption serait purifiée lorsque nous devenons ceux qui aiment et obéissent vraiment à Dieu et ne Lui désobéissent ou ne Lui résistent plus, que nous serons réellement sauvés.
Source: L'Évangile de Dieu
Réponse : La majorité des croyants de nos jours, interprètent les Écritures ci-dessus de cette manière : Nous serons sauvés une fois que nous croyons au Seigneur. Tant que nous nous accrochons au nom du Seigneur Jésus et que nous tenons bon jusqu’à la fin, quelles que soient nos souffrances, nous serons sauvés. Quand le Seigneur viendra, Il nous emmènera dans le royaume des cieux. Cette pensée est-elle défendable et conforme à la vérité ? Ayons un partage autour de cette question.
« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut » (Romains 10, 9-10). Nous savons tous que ces versets ont été dits par l’apôtre Paul, mais ils ne sont totalement pas correspondants à la parole du Seigneur. Le Seigneur Jésus n’a jamais dit qu’on peut entrer dans le royaume des cieux après avoir été sauvé par la foi. Au lieu de cela, Il a dit : « n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7, 21). Seul le Seigneur Jésus garde la porte du royaume et seule Sa parole est la vérité et la norme pour l’entrée de l’homme dans le royaume des cieux, alors que la parole de l’homme ne l’est pas. Nous disons que nous sommes « sauvés par la foi », mais ce « salut » signifie seulement que nos péchés sont pardonnés, et nous ne serons pas condamnés ou mis à mort par la Loi. Cela ne signifie pas que nous avons rompu avec le péché ou que nous avons été purifiés en pratiquant les paroles de Dieu, et encore moins que nous pouvons entrer dans le royaume des cieux. Nous avons été pardonnés de nos péchés en croyant au Seigneur Jésus, mais la nature de résistance et de trahison à Dieu demeure toujours en nous. Lorsque nous vivons quelque chose de désagréable, comme des catastrophes naturelles ou causées par l’homme, des maladies, des persécutions et des tribulations, nous pouvons toujours nous plaignons et mal comprendre Dieu. Certains ont déjà cru au Seigneur, mais ils poursuivent les tendances du monde, profitent avidement d’un bonheur plein de péchés et pèchent encore souvent et résistent à Dieu. Comment serait-il possible à de telles personnes d’entrer dans le royaume des cieux ? Le Seigneur est saint et juste, Il ne fait aucune exception. Seigneur Jésus a dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l’esclave ne demeure pas toujours dans la maison ; le fils y demeure toujours » (Jean 8, 34-35). De toute évidence, si nous ne pouvons pas rompre avec le péché, nous ne pourrons pas entrer dans le royaume des cieux. Ainsi, l’affirmation qui dit « On peut entrer dans le royaume des cieux après avoir été sauvé par la foi » va à l’encontre de la parole du Seigneur Jésus. Au cas contraire, Il n’aurait pas dit ces paroles : « Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7, 21).
D’où vient alors le concept du « salut » ? Sa vraie signification est-elle ce que nous imaginons ? En y repensant, quand Dieu créa Adam et Ève, il n’y avait pas de mort du tout, et ainsi, pour eux, il n’y avait rien qui correspondait à l’expression « être sauvé ». Après avoir péché, l’homme a commencé à connaître la mort. C’est alors que le concept du « salut » a vu le jour. Quand les Israélites étaient esclaves en Égypte, Dieu a demandé à Moïse de les délivrer de l’esclavage de Pharaon et de les conduire au bon pays de Canaan. À cette époque, les Israélites furent sauvés en rompant avec l’esclavage du pharaon égyptien. Lorsque Dieu décréta les lois et les commandements pour guider la vie de l’homme sur la terre, tant que l’homme pouvait les garder et offrir des sacrifices à Dieu après avoir péché, il était, alors, sauvé. Par conséquent, « être sauvé » à l’ère de la Loi signifiait que l’homme avait obtenu la bénédiction et la protection de Dieu en respectant les lois de l’Éternel. Ce salut permettait aux gens de savoir ce qu’était le péché, mais leur comportement pécheur n’était pas résolu pour autant. Par conséquent, à la fin de l’ère de la Loi, l’homme ne pouvait pas respecter les lois et offrait des sacrifices de bovins ou agneaux boiteux ou aveugles sur l’autel des sacrifices. Selon la Loi, il aurait été condamné et mis à mort. Cependant, comme Dieu ne pouvait supporter de voir tous les hommes mourir sous la Loi, Il s’est incarné pour la première fois dans un tel contexte et a été cloué à la croix pour l’homme en tant qu’offrande du péché de l’homme. En conséquence, l’homme avait seulement besoin de prier, de se repentir et de se confesser au Seigneur Jésus pour être pardonné de ses péchés et n’était plus condamné et exécuté par la Loi. C’est ce que cela signifiait d’être sauvé à l’ère de la Grâce.
L’œuvre de Dieu se fait selon l’ère et l’étape, au lieu d’être immuable. Par conséquent, l’homme est tenu de suivre le rythme. Si nous ne suivons pas les pas de Dieu, nous ne pouvons pas être sauvés et serons éliminés par Son œuvre.
Lorsque le Seigneur Jésus commença à faire Son œuvre, les pharisiens ne connaissaient pas ce principe de l’œuvre de Dieu, mais vivaient dans une conception imaginaire de la vérité et s’en tenaient aux paroles des Écritures : « Alors quiconque invoquera le nom de l’Éternel sera sauvé » (Joël 2, 32). Selon eux, il suffisait d’obéir à la Loi pour être sauvé. Ainsi, ils n’ont pas cherché ou enquêté sur la nouvelle œuvre du Seigneur Jésus, mais l’ont rejeté et y ont résisté. En fin de compte, ils ont été punis et maudits par Dieu. Certes, ils n’ont pas été sauvés malgré leur confiance en elle. Le résultat obtenu par les pharisiens ne pas appel à notre réflexion ? En ce qui concerne les Écritures : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut » (Romains 10, 9-10). Le salut ici se réfère au pardon des péchés de l’homme à l’ère de la Grâce, pour atteindre que l’homme soit qualifié pour venir devant Dieu et prier, communier avec Dieu et jouir de la grâce abondante et de la vérité de Dieu. Mais la racine du péché de l’homme n’a pas été enlevée et il peut encore pécher indéfiniment, alors on ne peut pas dire que l’homme a vraiment été sauvé.
Alors, les frères et sœurs de toutes les confessions religieuses vivent dans le péché involontairement et personne n’en est exempté. Les tempéraments sataniques, comme l’arrogance, la cupidité, la malveillance, l’égoïsme et la ruse, peuvent tous être vus en nous, et nous y sommes déjà habitués. Les gens qui ont cru au Seigneur depuis des années ont connu un fait : bien que nos péchés soient pardonnés par le Seigneur, nous pouvons toujours commettre des péchés malgré nous. Nous disons encore des mensonges pour chercher la fortune, la renommée et une bonne position. Nous sommes arrogants et n’acceptons pas la vérité. Lorsque des calamités nous arrivent, nous nous plaignons et trahissons Dieu. Bien que nous parlions souvent d’honorer Dieu comme étant grand, nous adorons encore et suivons l’homme dans nos cœurs. Parfois, pour obtenir un poste, nous essayons de nous exalter nous-mêmes et de nous mettre à la place de Dieu pour que les autres regardent à nous. Pire encore, nous nous séparons en factions, formons des cliques et établissons nos propres royaumes indépendants. On peut voir que, avec la nature satanique, nous ne pouvons pas entrer dans le royaume des cieux même si nos péchés sont pardonnés. Ces manifestations suffisent à prouver que nous sommes toujours du côté de Satan, ne sommes pas vraiment sauvés et sommes des ennemis de Dieu, faits pour lesquels nous serons sûrement condamnés et punis par Dieu. Comme le dit la Bible: « Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles » (Hébreux 10, 26-27).
Le tempérament de Dieu est juste et saint, alors Il nous demande de rompre avec le péché et à être purifiés et changé. Cela est mentionné à plusieurs reprises dans la Bible : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur » (Hébreux 12, 14). « et dans leur bouche il ne s’est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles » (Apocalypse 14, 5). « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait » (Matthieu 5, 48). Ces versets nous disent clairement que les personnes qui peuvent entrer dans le royaume des cieux sont sans péché, pures et sans tache. Il suffit de penser : Dieu peut-il amener des hommes aussi sales et corrompus que nous dans Son royaume ? Ces personnes sont-elles dignes d’être admises ? À propos de ces questions, la parole de Dieu nous montre une réponse définitive. Dieu dit : « Tu as raté une étape dans ta foi en Dieu : tu as simplement été racheté, mais n’as pas été transformé. Pour que tu sois selon le cœur de Dieu, Dieu doit personnellement te transformer et te purifier ; si tu es seulement racheté, tu seras incapable d’atteindre la sainteté. De cette façon, tu ne seras pas qualifié pour partager les bénédictions de Dieu, car tu as raté une étape de l’œuvre de la gestion de l’homme par Dieu, qui est l’étape clé de la transformation et du perfectionnement. Et donc toi, un pécheur qui vient d’être racheté, tu es incapable de recevoir directement l’héritage de Dieu » (Extrait de « Concernant les appellations et l’identité »). « À l’époque, l’œuvre de Jésus était la rédemption de toute l’humanité. Les péchés de tous ceux qui croyaient en Lui étaient pardonnés ; tant que tu croyais en Lui, Il te rachetait ; si tu croyais en Lui, tu n’étais plus un pécheur, tu avais été relevé de tes péchés. C’est cela que signifiait être sauvé et être justifié par la foi. Pourtant, il y avait un reste de rébellion et d’opposition à Dieu chez ceux qui croyaient et cela devait être retiré lentement. Le salut ne signifiait pas que l’homme avait été complètement acquis par Jésus, mais que l’homme n’appartenait plus au péché, que ses péchés avaient été pardonnés : à condition que tu croies, tu n’appartiendrais plus jamais au péché » (Extrait de « La vision de l’œuvre de Dieu (2) »). Les paroles de Dieu sont très claires. La racine des péchés est toujours en nous même si nos péchés ont été pardonnés. Bien qu’aucun d’entre nous ne soit disposé à pécher subjectivement contre le Seigneur, nous commettons des péchés malgré nous. C’est comme couper les poireaux ; ils sont coupés encore et encore, mais ils repoussent à chaque fois. Par conséquent, nous avons encore besoin de Dieu pour nous débarrasser du tempérament corrompu de résistance et de désobéissance à Son égard.
Nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes, alors nous devons accepter le salut de Dieu. Il est dit dans la Bible : « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi » (Éphésiens 2, 8). De ce verset, nous pouvons voir que « être sauvé » est, d’une part, à cause du salut de Dieu survient à l’homme et, d’autre part, à cause de notre foi. C’est-à-dire que lorsque l’œuvre de salut de Dieu nous parvient, nous devons croire et suivre afin d’être sauvés. La parole de Dieu dit : « La chair de l’homme est de Satan, elle est pleine de tempéraments désobéissants, elle est déplorablement souillée, c’est quelque chose d’impur. Les gens convoitent trop la jouissance de la chair, il y a trop de manifestations de la chair et donc, Dieu méprise la chair jusqu’à un certain point. Lorsque les gens quittent les choses souillées et corrompues de Satan, ils gagnent le salut de Dieu. Mais s’ils restent incapables de se dépouiller de la souillure et de la corruption, alors ils seront encore sous le domaine de Satan. La connivence, la tromperie et la malhonnêteté des gens sont des choses de Satan ; en te sauvant, Dieu te sépare de ces choses et l’œuvre de Dieu ne peut pas mal tourner et elle est tout orientée à sauver les gens de l’obscurité. Lorsque tu as cru à un certain point et que tu peux te départir de la corruption de la chair, et que tu n’es plus enchaîné par cette corruption, n’as-tu pas été sauvé ? Quand tu vis sous le domaine de Satan, tu es incapable de manifester Dieu, tu es quelque chose de souillé et tu ne recevras pas l’héritage de Dieu. Une fois que tu as été purifié et rendu parfait, tu seras saint, tu seras normal et tu seras béni par Dieu et agréable à Dieu » (Extrait de « Pratique (2) »). Les paroles de Dieu nous montrent le chemin vers le royaume des cieux. Ce n’est qu’en acceptant cette étape de l’œuvre de jugement et de châtiment de Dieu dans les derniers jours que nous pouvons être purifiés et sauvés et entrer dans le royaume des cieux. Si nous sommes satisfaits par le salut par la foi, alors nous sommes simplement assis passivement à attendre la destruction. Parce que cette étape de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours consiste à mettre fin à l’ère et de séparer tout en fonction de leur genre et de récompenser le bien et de punir le mal ; c’est la dernière œuvre pour sauver l’humanité et elle mettra fin à tout. Ceux qui sont incompatibles avec Dieu et qui refusent d’accepter Son œuvre dans les derniers jours, ainsi que les méchants résistant à Dieu, seront tous détruits, inaltérable par toute personne.
Les paroles de Dieu disent : « Après la fin de l’œuvre de Dieu, parmi toutes Ses créatures, il y aura les gens qui seront détruits et ceux qui survivront. Ceci est une conclusion inévitable de Son travail de gestion. Personne ne peut le nier. Les malfaiteurs ne peuvent pas survivre ; ceux qui Lui obéissent et Le suivent jusqu’à la fin sont certains de survivre. Comme ce travail est celui de la gestion de l’humanité, il y aura ceux qui restent et ceux qui sont éliminés. Une fin différente existe pour tous les différents types de personnes, et ces arrangements sont les plus appropriés pour Ses créatures. » (Extrait de « Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble »)
Les paroles de Dieu nous disent clairement qu’il y aura des créatures qui seront détruites et des créatures qui survivront lorsque Son œuvre sera terminée. De nos jours, Dieu a repris l’œuvre de l’Esprit à travers l’univers et a œuvré sur ce groupe de personnes qui ont accepté Son œuvre des derniers jours. Ce n’est que lorsque nous suivons les pas de Dieu, acceptons Son jugement et Son châtiment, notre corruption serait purifiée lorsque nous devenons ceux qui aiment et obéissent vraiment à Dieu et ne Lui désobéissent ou ne Lui résistent plus, que nous serons réellement sauvés.
Source: L'Évangile de Dieu
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