Évangile du jour — La parole de notre Dieu subsiste éternellement


L’herbe sèche, la fleur tombe ; Mais la parole de notre Dieu subsiste éternellement.

                                                                                                                                    Esaïe 40:8

Pensées sur le verset du jour

Ce verset nous dit que l’herbe se dessèche, la fleur s’estompe, mais les paroles de Dieu ne disparaîtront jamais et resteront pour toujours. C’est la vérité. De l’œuvre de Dieu, nous pouvons voir que « Il est aussi bon que Sa parole, et Sa parole s’accomplira, et ce qui s’accomplira durera toujours ». Au temps de Noé, après que Dieu ait utilisé une inondation pour détruire le monde à cause de la corruption de l’homme, Il a établi l’alliance de l’arc-en-ciel avec Noé comme un signe qu’Il ne détruirait plus jamais le monde par des inondations. L’arc-en-ciel que nous voyons aujourd’hui reflète l’autorité des paroles de Dieu. Abraham était prêt à offrir son fils unique Isaac à Dieu, et Dieu lui promit que sa descendance serait aussi nombreuse que les étoiles du ciel et aussi abondante que le sable du bord de la mer. Même à ce jour, sa progéniture est partout dans le monde ; la promesse de Dieu a été accomplie. De plus, à l’ère de la Loi, Dieu a décrété des lois par l’intermédiaire de Moïse pour guider la vie du peuple sur terre. Ces commandements et ces lois ont également jeté les bases de la perfection des systèmes juridiques pour les générations futures. Leur influence s’est poursuivie jusqu’à ce jour.

Pensez à la période tardive de l’ère de la Loi. Les gens ne pouvaient pas respecter les lois et risquaient d’être condamnés et maudits par les lois. Dieu a utilisé les prophètes pour prédire qu’un Messie viendrait sauver les Israélites de l’affliction. Puis, à l’ère de la Grâce, Dieu S’est fait chair pour être cloué sur la croix comme une offrande pour le péché à l’humanité, nous rachetant ainsi du péché. Ses paroles « Tout est accompli » signifiaient que nous n’étions plus du péché, et que nous ne serions plus condamnés par les lois. Nous serions qualifiés pour venir devant Dieu et Le prier. L’œuvre de salut de Dieu à l’ère de la Grâce était ainsi achevée. Bien que nous ayons été rachetés, notre nature pécheresse existe toujours. Nous vivons encore impuissants dans un cycle de péchés pendant la journée et de confessions la nuit. Le Seigneur Jésus a prophétisé : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi » (Apocalypse 3, 20). « Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu’est son oeuvre » (Apocalypse 22, 12). « Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde point, ce n’est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j’ai annoncée, c’est elle qui le jugera au dernier jour » (Jean 12, 47-48). « Je m’approcherai de vous pour le jugement, … dit l’Éternel des armées » (Malachie 3, 5). « Car c’est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu » (1 Pierre 4, 7). De ces versets, nous pouvons voir que Dieu nous a promis qu’Il viendra sûrement exprimer des paroles pour faire une étape de travail de jugement commençant par la maison de Dieu, et utiliser Ses paroles pour juger et purifier les corruptions de l’homme. Pendant ce temps, Dieu jugera aussi l’homme par Ses paroles afin que tous suivent leur propre espèce, et alors Il récompensera les bons et punira les mauvais. Ceci est déterminé par les paroles de Dieu, parce qu’une fois que les paroles de Dieu sortiront, tout ce que Dieu veut faire sera accompli en accord avec Ses paroles. C’est la vérité qui ne change jamais. Alors comment devrions-nous nous approcher de la promesse de Dieu ?

Nous recommandons :

Dieu utilise Ses paroles pour établir une alliance avec l’homme

Source : L’Évangile de Dieu

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Témoignages chrétiens « Après les mensonges »