Famille chrétienne – Le bonheur vient de Dieu
Après avoir lu un tiers de l’article « J’ai rencontré Celui en qui je peux avoir confiance », je n’étais plus sûre si je devrais continuer. Car J’avais lu ceci : Une mère souffrait de la dépression, elle craignait tout le temps que ses enfants et son mari étaient en danger lorsqu’ils n’étaient pas à la maison. Je n’y comprenais rien car moi-même je n’avais pas ces soucis. Était-ce parce que j’étais encore jeune, ou était-il à cause de ma personnalité audacieuse et franche…
Mais en réalité, il y a tant de personnes dans la société qui vivent dans la dépression et la souffrance. D’aucuns se soucient que leurs enfants seraient intimidés à l’école maternelle, ou si les enseignants traiteront leurs enfants avec gentillesse. D’autres se soucient si leurs enfants trouveraient un bon emploi ou un bon conjoint. D’autres encore ont peur de mourir s’ils deviennent malades, ou que leurs enfants se souffriraient à cause de leur vieillesse ou à leur mort. Il y a des gens qui se soucient des désastres ou de l’état instable du monde, des découvertes scientifiques qui introduisent de la pollution de l’environnement et plus, ce sont des soucis qui nous troublent d’un jour à l’autre. Comment nous échapper de cette dépression, nous débarrasser de nos soucis et mener une vie tranquille ?
Li Yan a beaucoup souffert car elle s’angoissait trop pour ses enfants et son mari, mais elle a pu surmonter ses problèmes et à la fin elle a eu une vie heureuse !
Sa vie avant – Vivre péniblement dans la dépression
Le mari de Li Yan prend beaucoup soin de sa famille. Il traite Li Yan avec amour et beaucoup d’attention. Ils ont un fils et une fille, et ils ont une vie confortable. Leur fils va à l’école tout seul à vélo. Chaque fois qu’il revient de l’école, il crie toujours : « Maman, me voici » ! Li Yan ne se sent jamais à l’aise qu’au retour de son fils. Un jour quelques élèves se sont battus sur la route après les cours. Li Yan s’est beaucoup inquiétée car son fils se tardait d’arriver à la maison. Elle craignait qu’il puisse être en danger. Elle a donc décidé de faire des allées et venues sur la route de l’école et ne s’est calmée qu’à la rencontre de son fils.
Un autre jour le fils de Li Yan n’était toujours pas rentré plusieurs heures après la sortie de l’école, et elle a commencé à s’inquiéter. Elle est partie demander à un camarade de son fils où il pourrait être. Son camarade de classe a répondu : « Après les cours je l’ai vu sortir avec un élève d’une autre classe. Je ne sais pas ce qu’ils vont faire ». Li Yan, très inquiète, s’est demandée : Où ira-t-il? Va-t-il se battre avec les autres élèves ? Il y a quelques jours, le fils d’un voisin se battait avec un autre gamin. Celui-ci a pu maîtriser le fils du voisin, qui a fait appel à son frère. Le frère est venu avec un couteau qu’il a utilisé pour poignarder le gamin à mort. Li Yan a eu très peur à cette pensée : Que faire maintenant ? Où le trouver ? Li Yan a rodé de l’école à sa maison, dans le souhait de rencontrer son fils. Elle marmonnait toute seule : « soit en sécurité, s’il te plaît… » Li Yan n’osait même pas cligner ses yeux. Elle regardait de très près chaque voiture qui passait et tous les passants, de peur de manquer de voir son fils. Après avoir marché assez loin, Li Yan a vu un gamin qui s’approchait en vitesse à vélo, et qui ressemblait à son fils. Elle a regardé encore, et c’était effectivement lui. Elle a pu finalement se calmer. Elle a crié à son fils et il s’est arêté. Li Yan s’est approchée de lui et l’a giflé avec force en demandant : « Où étais-tu allé après l’école ? Ne sais-tu pas que je m’inquiétais » ? Son fils, coupable, a répondu : « Je suis désolé, maman. Je suis allé chez mon camarade de classe faire mon devoir ». Li Yan a regretté son action car son fils avait reconnu son erreur et se sentait coupable. Elle s’est rendu compte qu’elle était trop impulsive. Elle a compris qu’elle menait une vie d’angoisse, de douleur et de chagrin, s’inquiétant de tout. Elle ne pouvait pas passer un jour entier en paix, ce qui faisait souffrir également ses enfants et son mari.
Li Yan dépend totalement de son mari, il soutient toute la famille. D’après Li Yan, ce sera la fin du monde pour elle sans son mari, et c’est pour cette raison qu’elle s’inquiétait toujours pour lui quand il était au travail. Un jour son mari est allé visiter son cousin au dîner, il n’était pas encore rentré le soir. Encore une fois Li Yan a commencé à imaginer toutes sortes de choses : Sortira-t-il saoul de chez son cousin ? Sera-t-il renversé par une voiture dans la nuit ? Ces scénarios imaginaires faisaient battre son cœur de façon à vouloir exploser de sa poitrine. Elle a fait plusieurs allées et venues sur la route de son mari, mais elle retournait déçue chaque fois. Li Yan s’est mis assise sur le lit toute la nuit, elle ne sait pas dormir, de peur de ne pas entendre son mari frapper à son retour.
Finalement, très tôt à l’aube, Li Yan est partie rapidement à vélo chez son cousin (une distance de plus de 20 km). A son arrivée, sa belle-sœur lui a dit gentiment : « Ton mari était saoul hier soir. Ton cousin lui a donc demandé de passer la nuit ici car il était trop dangereux pour lui de rentrer à vélo. Je suis désolée de t’avoir inquiétée ». Elle a été soulagée quand elle a compris que son mari allait bien. Mais elle a commencé à s’inquiéter de son fils qui dormait toujours dans la maison, de peur qu’il n’ait pas suffisamment de temps pour prendre le petit déjeuner avant de partir pour l’école. Elle est donc retournée en vitesse chez elle. Quand elle était partie pour la maison de son cousin, Li Yan ne s’est pas sentie fatiguée car elle s’inquiétait de son mari. Mais elle était très fatiguée et essoufflée au retour. Comme elle n’avait pas dormi toute la nuit elle était totalement épuisée à l’arrivée chez elle.
Elle change – Les Paroles de Dieu lui a donné foi
Li Yan est finalement arrivée chez elle. Une voisine l’a vue rentrer avec angoisse et fatiguée, et lui a demandé avec inquiétude : « Qu’as-tu fait ? Pourquoi es-tu sortie si tôt le matin ? » Li Yan a raconté à la voisine ses douleurs et sa misère.
La voisine a invité Li Yan chez elle, a pris un livre et lui a lu ce texte : « Aussitôt que tu viens au monde en poussant ton premier cri, tu commences à accomplir ton devoir. Tu assumes ton rôle dans le plan de Dieu et dans l’ordination de Dieu. Tu commences le voyage de la vie. Quels que soient tes antécédents et quel que soit le voyage qui t’attend, personne ne peut échapper à l’orchestration et à l’arrangement que le Ciel a en réserve, et aucun de nous n’a le contrôle de sa destinée, car seul Celui qui domine sur toutes choses est capable d’une telle œuvre. Depuis le jour où l’homme est entré dans l’existence, Dieu a été stable dans Son œuvre, en gérant cet univers et en dirigeant le changement et le mouvement de toutes choses. Comme toutes choses, l’homme reçoit tranquillement et inconsciemment la nourriture de la douceur, de la pluie et de la rosée de Dieu. Comme toutes choses, l’homme, sans le savoir, vit sous l’orchestration de la main de Dieu » (Extrait de « Dieu est la source de la vie de l’homme »). « quand les gens reconnaissent la souveraineté de Dieu sur le destin humain, les plus intelligents choisissent de le connaître et de l’accepter, de dire adieu aux jours douloureux alors qu’ils essayaient de se façonner une bonne vie de leurs propres mains, au lieu de continuer à lutter contre le destin et de poursuivre leurs soi-disant objectifs de la vie à leur manière. Quand on n’a pas Dieu, quand on ne peut pas Le voir, quand on ne peut pas reconnaître clairement la souveraineté de Dieu, chaque jour est vide de sens, sans valeur, misérable. Partout où l’on est, quel que soit son travail, ses moyens de subsistance et la poursuite de ses objectifs n’apportent que du chagrin sans fin et de la souffrance affligeante, au point que l’on ne peut pas supporter de regarder en arrière. Ce n’est qu’acceptant la souveraineté du Créateur, en se soumettant à Ses orchestrations et arrangements, et en cherchant la vraie vie humaine, que l’on se libérera progressivement de toute peine et de toute souffrance et que l’on éliminera tout le néant de la vie » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique III »).
Li Yan a trouvé ces paroles rafraîchissantes quand la voisine les lisait, elles étaient réelles dans sa vie. La voisine lui a dit : « J’étais comme toi avant, je m’inquiétais tout le temps de ma famille, j’imaginais toutes sortes de choses. Ma sœur m’a donné le livre des paroles de Dieu, et j’ai commencé à le lire tous les jours. Et je me suis rendu compte qu’il n’y a qu’un seul Dieu entre le ciel et la terre. Il décide notre destin et prend contrôle de notre vie quotidienne. Notre vie, notre santé, notre travail, nos talents, le nombre de nos enfants, tous dépendent sur Dieu. Il nous faut avoir confiance en l’autorité et la souveraineté de Dieu, et de mettre le destin de nos enfants et mari entre Ses mains. Nous ne sommes pas capables de changer même notre propre destin, pourquoi donc soucions-nous de ceux des autres ? On mène une vie de douleurs et de fatigue parce qu’on ne connait pas Dieu. Commence à croire en Dieu ! » Li Yan a cru les paroles de Dieu du fond de son cœur, et elle a eu le désir de lire le livre des paroles de Dieu. Elle a eu un petit discours avec la voisine plus tard et est partie chez elle avec le livre.
Le jour suivant, quand Li Yan était en train de préparer le dîner, elle a reçu un coup de téléphone de sa fille qui travaillait loin de sa ville natale. Elle lui a dit : « Maman, j’ai peur de cet endroit. Je veux revenir ». Li Yan a remarqué que sa fille était en sanglots, et elle lui a demandé en s’inquiétant : « Quel est le problème, ma fille » ? Sa fille a répondu : « Quelqu’un m’a intimidée ». Li Yan n’a pas eu l’occasion de finir le dialogue car l’appel téléphonique s’est terminé brusquement. Li Yan a réagi comme quelqu’un qui marchait sur des flammes chaudes. Que faire ? Qu’est-ce qui se passait exactement ? Mon mari n’est pas à la maison, on est en train d’intimider ma fille et elle est encore jeune, serait-elle en danger ? Li Yan a perdu la tête et a crié : « Que faire ? Que faire… ». A ce moment elle s’est rappelée ce que la voisine lui avait dit : « Dieu est tout puissant, malgré la situation, on peut toujours prier et avoir confiance en Dieu ». Tout de suite Li Yan s’est mise à genou et a prié à Dieu, et a confié sa fille entre les mains de Dieu. Li Yan ne s’inquiétait plus après la prière. Elle a cru que tout était entre les mains de Dieu, y compris le destin de sa fille. Tout est sous le contrôle de Dieu, que ce soit la chance ou le malheur. Seul Dieu pouvait protéger sa fille, et ni son inquiétude ni sa peur ne pouvait rien changer.
Peu après son téléphone a sonné, c’était sa fille : « Maman, ça va maintenant. Je vais revenir demain, et je vais tout raconter à mon arrivée. Je vais dormir chez une grande sœur ce soir. Ne t’inquiète pas ». Et elle a coupé son téléphone. Li Yan a remercié Dieu mille fois.
Sa fille est rentrée le jour suivant dans l’après-midi. Elle a pleuré et a embrassé Li Yan : « Maman, hier j’avais vraiment peur. Il y a des voyous qui m’intimidaient. Mais juste après une grande sœur est arrivée, s’est arrêtée et leur a dit : « Ne touchez pas à ma sœur » ! Elle les a chassés et m’a demandé d’arrêter de travailler à cet endroit, sinon ils reviendront m’intimider. Elle m’a aussi invité passer la nuit chez elle ». Li Yan lui a demandé si elle connaissait cette grande sœur. Sa fille a répondu : « Je ne la connais pas du tout, c’est la première fois que je l’ai rencontrée ». Li Yan a dit : « Je remercie Dieu pour t’avoir sauvée, Il a répondu à mes prières et a envoyé des gens t’aider ». Li Yan a prêché l’évangile à sa fille et elle a accepté volontiers.
Plus tard, Li Yan a lu un passage du livre : « Tu vis sous l’œil de Dieu, grandissant, vieillissant. Pendant ce temps, la tâche la plus importante de Dieu est quelque chose que personne ne perçoit jamais, quelque chose que personne ne connaît. Dieu ne te le dit certainement pas. Alors, quelle est cette importante chose ? […] Depuis l’instant où tu nais jusqu’à maintenant, Dieu a accompli beaucoup de travail en toi, mais Il ne t’a pas dit à chaque fois qu’Il a fait quelque chose. Tu ne devais pas savoir, tu n’en étais pas informé, n’est-ce pas ? (Oui.) Pour l’homme, tout ce qu’Il fait est important. Pour Dieu, c’est quelque chose qu’Il doit faire. Mais dans Son cœur, il y a quelque chose d’important qu’Il a besoin de faire qui dépasse de loin toutes ces choses. De quoi s’agit-il ? C’est-à-dire, depuis que l’homme est né jusqu’à maintenant, Dieu doit assurer la sécurité de chacun d’entre eux » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique VI »). « C’est parce qu’il n’a pas cherché à savoir si Dieu le bénirait ou lui causerait un désastre, parce qu’il savait que tout est contrôlé par la main de Dieu et que l’inquiétude de l’homme est un signe de folie, d’ignorance, d’irrationalité, de doute sur le fait de la souveraineté de Dieu sur toutes choses et d’un manque de crainte de Dieu. La connaissance de Job était précisément ce que Dieu voulait » (Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II »).
Elle s’est rendu compte de ce texte que tout est sous le contrôle de Dieu. Elle n’avait pas la capacité ni de changer ni de contrôler la vie ou la santé des membres de sa famille. Elle a cru du fond de son cœur que la meilleure chose à faire était de croire en Dieu et de suivre la bonne voie de Dieu. Elle n’avait pas connu tout cela avant, mais finalement elle a trouvé la solution à sa dépression et ses douleurs. Elle a commencé à chérir les paroles de Dieu. Elle a appris des paroles de Dieu qu’il lui fallait obéir à Dieu, avoir confiance en Lui et à compter sur Lui. On peut toujours trouver une solution si on n’a peur de rien. Li Yan ne se sentait plus aussi fatiguée qu’avant depuis qu’elle a commencé à lire les paroles de Dieu, mais au contraire elle trouvait chaque jour rafraîchissant. Elle avait maintenant une attitude positive, se sentait en paix et heureuse, car elle savait que tout était entre les mains de Dieu. Le destin de tout le monde est entre les mains de Dieu.
Son état à présent – Le bonheur vient de Dieu
Un soir, Li Yan était en train de préparer le dîner. Son mari est arrivé en angoisse et lui a dit : « Dépêche-toi ! On va à l’hôpital » ! Li Yan est encore devenue nerveuse. Elle a d’abord pensé à son fils : peut-être quelque chose lui est arrivé. Mais elle s’est rappelée que tout était entre les mains de Dieu, et qu’avec Lui elle n’avait pas peur. Elle a demandé à son mari : « Est-ce que notre fils a eu un accident » ? Son mari a répondu : « Comment as-tu su ça » ? Li Yan n’a pas répondu mais a fait une prière en silence. Elle ne s’est jamais sentie comme cela avant.
Son fils était assis sur un petit lit à l’hôpital. Le médecin a demandé à Li Yan de tenir son fils alors qu’il s’apprêtait à lui donner des points de suture sur la tête. La figure de son fils était de couleur jaune et ses oreilles saignaient toujours. Li Yan est devenue angoissée. Le médecin a conseillé l’hospitalisation étant donné la condition de son fils et lui a aussi demandé de ne pas laisser son fils s’endormir ni bouger, sinon sa condition pourrait s’empirer. Le médecin était très occupé, il prenait sa température, vérifiait ses yeux, l’a branché à des perfusions intraveineuses… C’était un moment très tendu. Li Yan aussi était très inquiète et elle avait peur, son mari faisait des va-et-vient devant le lit et avait l’air nerveux et instable. Li Yan a commencé encore à paniquer. Pourtant, Dieu l’a fait se rappeler ces paroles : « Ne crains pas, Dieu Tout-Puissant, l’Éternel des armées, sera sûrement avec toi ; Il te protège et Il est ton bouclier » (Extrait de « La vingt-seizième déclaration »). Li Yan s’est rassurée : « Je dois avoir confiance en la souveraineté de Dieu, confier mon fils entre Ses mains et obéir à des décisions de Dieu. Il n’est pas au médecin de décider s’il va vivre ou mourir, le médecin n’y peut rien. Au contraire, tout est entre les mains de Dieu, je dois avoir confiance en Lui et confier mon fils entre Ses mains, et non pas tomber dans les pièges de Satan et vivre encore dans la peur. Il me faut être rationnelle, me calmer et coopérer totalement avec le médecin pour sauver mon fils.
Elle s’est calmée finalement. Son fils s’est réveillé le lendemain après une nuit de traitement. Il a ouvert ses yeux et a dit : « Maman ». Li Yan était ravie. Son fils allait bien, et le médecin, également content, lui a dit : « C’était une nuit difficile pour votre fils ! Personne n’osait parler des possibilités. Vous êtes vraiment courageuse ». Un homme à côté du lit de son fils a dit à son mari : « Votre femme était plus calme que vous tout le temps… »
Après avoir entendu tout cela, Li Yan a remercié et loué Dieu. Elle savait que Dieu l’avait changé, et l’avait fait comprendre comment elle était bénie quand elle croyait en Lui et reconnaissait Sa souveraineté. Si elle n’avait pas cru en Dieu ni suivi Ses paroles, elle aurait souffert et elle n’aurait pas coopéré avec le médecin non plus pour sauver son fils.
Plus tard Li Yan a encore lu un autre passage : « … they don’t know what they will encounter that day. That is unknown, but we don’t fear the unknown. Why is that? Because we have God. We have God in our hearts. We have something to lean on. So, no matter what issues we encounter, we’re not afraid; we have something to lean on and we have motivation. We’re not like non-believers—they are helpless, they’re constantly running around, and they’re constantly afraid of what might happen. They don’t want to get into a car accident, they don’t want to provoke a lawsuit or a quarrel, they don’t want to offend their boss, colleagues, relatives, or people who are useful to them, they don’t want to run into any disasters…. They are wound up tightly in their hearts every day, fearing that these things might happen. They don’t have God in their hearts, so they seem pathetic, helpless, and with nothing to lean on. We’re different. We don’t need to fear those things; God is supreme, He is our Lord, we can lean on Him, He is our Rock. God has already told us the principles of what we should practice when we encounter an issue. We live our lives in the light, in peace. »
Li Yan a crié : ces paroles disent la vérité, elles lui ont permis de sortir de la dépression et de l’angoisse, et ont apporté de la lumière et de la joie dans sa vie. Quand elle pensait qu’elle a été trompée par la doctrine d’athéisme et sans Dieu était une vie de souffrance et sans espoir, elle n’avait aucune envie d’en revenir. Elle a remercié Dieu pour l’avoir accepté dans la maison de Dieu où elle a trouvé la joie et la paix. Elle a trouvé Dieu, Celui en qui elle pouvait avoir confiance toute sa vie ! Elle vivait dans la réalité les paroles de la Bible : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos »(Matthieu 11, 28). « Car mon joug est doux, et mon fardeau léger » (Matthieu 11, 30). « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus Christ » (Philippiens 4, 6 – 7).
Traduction par Barrack Onyango
Source: L'Évangile de Dieu
Mais en réalité, il y a tant de personnes dans la société qui vivent dans la dépression et la souffrance. D’aucuns se soucient que leurs enfants seraient intimidés à l’école maternelle, ou si les enseignants traiteront leurs enfants avec gentillesse. D’autres se soucient si leurs enfants trouveraient un bon emploi ou un bon conjoint. D’autres encore ont peur de mourir s’ils deviennent malades, ou que leurs enfants se souffriraient à cause de leur vieillesse ou à leur mort. Il y a des gens qui se soucient des désastres ou de l’état instable du monde, des découvertes scientifiques qui introduisent de la pollution de l’environnement et plus, ce sont des soucis qui nous troublent d’un jour à l’autre. Comment nous échapper de cette dépression, nous débarrasser de nos soucis et mener une vie tranquille ?
Li Yan a beaucoup souffert car elle s’angoissait trop pour ses enfants et son mari, mais elle a pu surmonter ses problèmes et à la fin elle a eu une vie heureuse !
Sa vie avant – Vivre péniblement dans la dépression
Le mari de Li Yan prend beaucoup soin de sa famille. Il traite Li Yan avec amour et beaucoup d’attention. Ils ont un fils et une fille, et ils ont une vie confortable. Leur fils va à l’école tout seul à vélo. Chaque fois qu’il revient de l’école, il crie toujours : « Maman, me voici » ! Li Yan ne se sent jamais à l’aise qu’au retour de son fils. Un jour quelques élèves se sont battus sur la route après les cours. Li Yan s’est beaucoup inquiétée car son fils se tardait d’arriver à la maison. Elle craignait qu’il puisse être en danger. Elle a donc décidé de faire des allées et venues sur la route de l’école et ne s’est calmée qu’à la rencontre de son fils.
Un autre jour le fils de Li Yan n’était toujours pas rentré plusieurs heures après la sortie de l’école, et elle a commencé à s’inquiéter. Elle est partie demander à un camarade de son fils où il pourrait être. Son camarade de classe a répondu : « Après les cours je l’ai vu sortir avec un élève d’une autre classe. Je ne sais pas ce qu’ils vont faire ». Li Yan, très inquiète, s’est demandée : Où ira-t-il? Va-t-il se battre avec les autres élèves ? Il y a quelques jours, le fils d’un voisin se battait avec un autre gamin. Celui-ci a pu maîtriser le fils du voisin, qui a fait appel à son frère. Le frère est venu avec un couteau qu’il a utilisé pour poignarder le gamin à mort. Li Yan a eu très peur à cette pensée : Que faire maintenant ? Où le trouver ? Li Yan a rodé de l’école à sa maison, dans le souhait de rencontrer son fils. Elle marmonnait toute seule : « soit en sécurité, s’il te plaît… » Li Yan n’osait même pas cligner ses yeux. Elle regardait de très près chaque voiture qui passait et tous les passants, de peur de manquer de voir son fils. Après avoir marché assez loin, Li Yan a vu un gamin qui s’approchait en vitesse à vélo, et qui ressemblait à son fils. Elle a regardé encore, et c’était effectivement lui. Elle a pu finalement se calmer. Elle a crié à son fils et il s’est arêté. Li Yan s’est approchée de lui et l’a giflé avec force en demandant : « Où étais-tu allé après l’école ? Ne sais-tu pas que je m’inquiétais » ? Son fils, coupable, a répondu : « Je suis désolé, maman. Je suis allé chez mon camarade de classe faire mon devoir ». Li Yan a regretté son action car son fils avait reconnu son erreur et se sentait coupable. Elle s’est rendu compte qu’elle était trop impulsive. Elle a compris qu’elle menait une vie d’angoisse, de douleur et de chagrin, s’inquiétant de tout. Elle ne pouvait pas passer un jour entier en paix, ce qui faisait souffrir également ses enfants et son mari.
Li Yan dépend totalement de son mari, il soutient toute la famille. D’après Li Yan, ce sera la fin du monde pour elle sans son mari, et c’est pour cette raison qu’elle s’inquiétait toujours pour lui quand il était au travail. Un jour son mari est allé visiter son cousin au dîner, il n’était pas encore rentré le soir. Encore une fois Li Yan a commencé à imaginer toutes sortes de choses : Sortira-t-il saoul de chez son cousin ? Sera-t-il renversé par une voiture dans la nuit ? Ces scénarios imaginaires faisaient battre son cœur de façon à vouloir exploser de sa poitrine. Elle a fait plusieurs allées et venues sur la route de son mari, mais elle retournait déçue chaque fois. Li Yan s’est mis assise sur le lit toute la nuit, elle ne sait pas dormir, de peur de ne pas entendre son mari frapper à son retour.
Finalement, très tôt à l’aube, Li Yan est partie rapidement à vélo chez son cousin (une distance de plus de 20 km). A son arrivée, sa belle-sœur lui a dit gentiment : « Ton mari était saoul hier soir. Ton cousin lui a donc demandé de passer la nuit ici car il était trop dangereux pour lui de rentrer à vélo. Je suis désolée de t’avoir inquiétée ». Elle a été soulagée quand elle a compris que son mari allait bien. Mais elle a commencé à s’inquiéter de son fils qui dormait toujours dans la maison, de peur qu’il n’ait pas suffisamment de temps pour prendre le petit déjeuner avant de partir pour l’école. Elle est donc retournée en vitesse chez elle. Quand elle était partie pour la maison de son cousin, Li Yan ne s’est pas sentie fatiguée car elle s’inquiétait de son mari. Mais elle était très fatiguée et essoufflée au retour. Comme elle n’avait pas dormi toute la nuit elle était totalement épuisée à l’arrivée chez elle.
Elle change – Les Paroles de Dieu lui a donné foi
Li Yan est finalement arrivée chez elle. Une voisine l’a vue rentrer avec angoisse et fatiguée, et lui a demandé avec inquiétude : « Qu’as-tu fait ? Pourquoi es-tu sortie si tôt le matin ? » Li Yan a raconté à la voisine ses douleurs et sa misère.
La voisine a invité Li Yan chez elle, a pris un livre et lui a lu ce texte : « Aussitôt que tu viens au monde en poussant ton premier cri, tu commences à accomplir ton devoir. Tu assumes ton rôle dans le plan de Dieu et dans l’ordination de Dieu. Tu commences le voyage de la vie. Quels que soient tes antécédents et quel que soit le voyage qui t’attend, personne ne peut échapper à l’orchestration et à l’arrangement que le Ciel a en réserve, et aucun de nous n’a le contrôle de sa destinée, car seul Celui qui domine sur toutes choses est capable d’une telle œuvre. Depuis le jour où l’homme est entré dans l’existence, Dieu a été stable dans Son œuvre, en gérant cet univers et en dirigeant le changement et le mouvement de toutes choses. Comme toutes choses, l’homme reçoit tranquillement et inconsciemment la nourriture de la douceur, de la pluie et de la rosée de Dieu. Comme toutes choses, l’homme, sans le savoir, vit sous l’orchestration de la main de Dieu » (Extrait de « Dieu est la source de la vie de l’homme »). « quand les gens reconnaissent la souveraineté de Dieu sur le destin humain, les plus intelligents choisissent de le connaître et de l’accepter, de dire adieu aux jours douloureux alors qu’ils essayaient de se façonner une bonne vie de leurs propres mains, au lieu de continuer à lutter contre le destin et de poursuivre leurs soi-disant objectifs de la vie à leur manière. Quand on n’a pas Dieu, quand on ne peut pas Le voir, quand on ne peut pas reconnaître clairement la souveraineté de Dieu, chaque jour est vide de sens, sans valeur, misérable. Partout où l’on est, quel que soit son travail, ses moyens de subsistance et la poursuite de ses objectifs n’apportent que du chagrin sans fin et de la souffrance affligeante, au point que l’on ne peut pas supporter de regarder en arrière. Ce n’est qu’acceptant la souveraineté du Créateur, en se soumettant à Ses orchestrations et arrangements, et en cherchant la vraie vie humaine, que l’on se libérera progressivement de toute peine et de toute souffrance et que l’on éliminera tout le néant de la vie » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique III »).
Li Yan a trouvé ces paroles rafraîchissantes quand la voisine les lisait, elles étaient réelles dans sa vie. La voisine lui a dit : « J’étais comme toi avant, je m’inquiétais tout le temps de ma famille, j’imaginais toutes sortes de choses. Ma sœur m’a donné le livre des paroles de Dieu, et j’ai commencé à le lire tous les jours. Et je me suis rendu compte qu’il n’y a qu’un seul Dieu entre le ciel et la terre. Il décide notre destin et prend contrôle de notre vie quotidienne. Notre vie, notre santé, notre travail, nos talents, le nombre de nos enfants, tous dépendent sur Dieu. Il nous faut avoir confiance en l’autorité et la souveraineté de Dieu, et de mettre le destin de nos enfants et mari entre Ses mains. Nous ne sommes pas capables de changer même notre propre destin, pourquoi donc soucions-nous de ceux des autres ? On mène une vie de douleurs et de fatigue parce qu’on ne connait pas Dieu. Commence à croire en Dieu ! » Li Yan a cru les paroles de Dieu du fond de son cœur, et elle a eu le désir de lire le livre des paroles de Dieu. Elle a eu un petit discours avec la voisine plus tard et est partie chez elle avec le livre.
Le jour suivant, quand Li Yan était en train de préparer le dîner, elle a reçu un coup de téléphone de sa fille qui travaillait loin de sa ville natale. Elle lui a dit : « Maman, j’ai peur de cet endroit. Je veux revenir ». Li Yan a remarqué que sa fille était en sanglots, et elle lui a demandé en s’inquiétant : « Quel est le problème, ma fille » ? Sa fille a répondu : « Quelqu’un m’a intimidée ». Li Yan n’a pas eu l’occasion de finir le dialogue car l’appel téléphonique s’est terminé brusquement. Li Yan a réagi comme quelqu’un qui marchait sur des flammes chaudes. Que faire ? Qu’est-ce qui se passait exactement ? Mon mari n’est pas à la maison, on est en train d’intimider ma fille et elle est encore jeune, serait-elle en danger ? Li Yan a perdu la tête et a crié : « Que faire ? Que faire… ». A ce moment elle s’est rappelée ce que la voisine lui avait dit : « Dieu est tout puissant, malgré la situation, on peut toujours prier et avoir confiance en Dieu ». Tout de suite Li Yan s’est mise à genou et a prié à Dieu, et a confié sa fille entre les mains de Dieu. Li Yan ne s’inquiétait plus après la prière. Elle a cru que tout était entre les mains de Dieu, y compris le destin de sa fille. Tout est sous le contrôle de Dieu, que ce soit la chance ou le malheur. Seul Dieu pouvait protéger sa fille, et ni son inquiétude ni sa peur ne pouvait rien changer.
Peu après son téléphone a sonné, c’était sa fille : « Maman, ça va maintenant. Je vais revenir demain, et je vais tout raconter à mon arrivée. Je vais dormir chez une grande sœur ce soir. Ne t’inquiète pas ». Et elle a coupé son téléphone. Li Yan a remercié Dieu mille fois.
Sa fille est rentrée le jour suivant dans l’après-midi. Elle a pleuré et a embrassé Li Yan : « Maman, hier j’avais vraiment peur. Il y a des voyous qui m’intimidaient. Mais juste après une grande sœur est arrivée, s’est arrêtée et leur a dit : « Ne touchez pas à ma sœur » ! Elle les a chassés et m’a demandé d’arrêter de travailler à cet endroit, sinon ils reviendront m’intimider. Elle m’a aussi invité passer la nuit chez elle ». Li Yan lui a demandé si elle connaissait cette grande sœur. Sa fille a répondu : « Je ne la connais pas du tout, c’est la première fois que je l’ai rencontrée ». Li Yan a dit : « Je remercie Dieu pour t’avoir sauvée, Il a répondu à mes prières et a envoyé des gens t’aider ». Li Yan a prêché l’évangile à sa fille et elle a accepté volontiers.
Plus tard, Li Yan a lu un passage du livre : « Tu vis sous l’œil de Dieu, grandissant, vieillissant. Pendant ce temps, la tâche la plus importante de Dieu est quelque chose que personne ne perçoit jamais, quelque chose que personne ne connaît. Dieu ne te le dit certainement pas. Alors, quelle est cette importante chose ? […] Depuis l’instant où tu nais jusqu’à maintenant, Dieu a accompli beaucoup de travail en toi, mais Il ne t’a pas dit à chaque fois qu’Il a fait quelque chose. Tu ne devais pas savoir, tu n’en étais pas informé, n’est-ce pas ? (Oui.) Pour l’homme, tout ce qu’Il fait est important. Pour Dieu, c’est quelque chose qu’Il doit faire. Mais dans Son cœur, il y a quelque chose d’important qu’Il a besoin de faire qui dépasse de loin toutes ces choses. De quoi s’agit-il ? C’est-à-dire, depuis que l’homme est né jusqu’à maintenant, Dieu doit assurer la sécurité de chacun d’entre eux » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique VI »). « C’est parce qu’il n’a pas cherché à savoir si Dieu le bénirait ou lui causerait un désastre, parce qu’il savait que tout est contrôlé par la main de Dieu et que l’inquiétude de l’homme est un signe de folie, d’ignorance, d’irrationalité, de doute sur le fait de la souveraineté de Dieu sur toutes choses et d’un manque de crainte de Dieu. La connaissance de Job était précisément ce que Dieu voulait » (Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II »).
Elle s’est rendu compte de ce texte que tout est sous le contrôle de Dieu. Elle n’avait pas la capacité ni de changer ni de contrôler la vie ou la santé des membres de sa famille. Elle a cru du fond de son cœur que la meilleure chose à faire était de croire en Dieu et de suivre la bonne voie de Dieu. Elle n’avait pas connu tout cela avant, mais finalement elle a trouvé la solution à sa dépression et ses douleurs. Elle a commencé à chérir les paroles de Dieu. Elle a appris des paroles de Dieu qu’il lui fallait obéir à Dieu, avoir confiance en Lui et à compter sur Lui. On peut toujours trouver une solution si on n’a peur de rien. Li Yan ne se sentait plus aussi fatiguée qu’avant depuis qu’elle a commencé à lire les paroles de Dieu, mais au contraire elle trouvait chaque jour rafraîchissant. Elle avait maintenant une attitude positive, se sentait en paix et heureuse, car elle savait que tout était entre les mains de Dieu. Le destin de tout le monde est entre les mains de Dieu.
Son état à présent – Le bonheur vient de Dieu
Un soir, Li Yan était en train de préparer le dîner. Son mari est arrivé en angoisse et lui a dit : « Dépêche-toi ! On va à l’hôpital » ! Li Yan est encore devenue nerveuse. Elle a d’abord pensé à son fils : peut-être quelque chose lui est arrivé. Mais elle s’est rappelée que tout était entre les mains de Dieu, et qu’avec Lui elle n’avait pas peur. Elle a demandé à son mari : « Est-ce que notre fils a eu un accident » ? Son mari a répondu : « Comment as-tu su ça » ? Li Yan n’a pas répondu mais a fait une prière en silence. Elle ne s’est jamais sentie comme cela avant.
Son fils était assis sur un petit lit à l’hôpital. Le médecin a demandé à Li Yan de tenir son fils alors qu’il s’apprêtait à lui donner des points de suture sur la tête. La figure de son fils était de couleur jaune et ses oreilles saignaient toujours. Li Yan est devenue angoissée. Le médecin a conseillé l’hospitalisation étant donné la condition de son fils et lui a aussi demandé de ne pas laisser son fils s’endormir ni bouger, sinon sa condition pourrait s’empirer. Le médecin était très occupé, il prenait sa température, vérifiait ses yeux, l’a branché à des perfusions intraveineuses… C’était un moment très tendu. Li Yan aussi était très inquiète et elle avait peur, son mari faisait des va-et-vient devant le lit et avait l’air nerveux et instable. Li Yan a commencé encore à paniquer. Pourtant, Dieu l’a fait se rappeler ces paroles : « Ne crains pas, Dieu Tout-Puissant, l’Éternel des armées, sera sûrement avec toi ; Il te protège et Il est ton bouclier » (Extrait de « La vingt-seizième déclaration »). Li Yan s’est rassurée : « Je dois avoir confiance en la souveraineté de Dieu, confier mon fils entre Ses mains et obéir à des décisions de Dieu. Il n’est pas au médecin de décider s’il va vivre ou mourir, le médecin n’y peut rien. Au contraire, tout est entre les mains de Dieu, je dois avoir confiance en Lui et confier mon fils entre Ses mains, et non pas tomber dans les pièges de Satan et vivre encore dans la peur. Il me faut être rationnelle, me calmer et coopérer totalement avec le médecin pour sauver mon fils.
Elle s’est calmée finalement. Son fils s’est réveillé le lendemain après une nuit de traitement. Il a ouvert ses yeux et a dit : « Maman ». Li Yan était ravie. Son fils allait bien, et le médecin, également content, lui a dit : « C’était une nuit difficile pour votre fils ! Personne n’osait parler des possibilités. Vous êtes vraiment courageuse ». Un homme à côté du lit de son fils a dit à son mari : « Votre femme était plus calme que vous tout le temps… »
Après avoir entendu tout cela, Li Yan a remercié et loué Dieu. Elle savait que Dieu l’avait changé, et l’avait fait comprendre comment elle était bénie quand elle croyait en Lui et reconnaissait Sa souveraineté. Si elle n’avait pas cru en Dieu ni suivi Ses paroles, elle aurait souffert et elle n’aurait pas coopéré avec le médecin non plus pour sauver son fils.
Plus tard Li Yan a encore lu un autre passage : « … they don’t know what they will encounter that day. That is unknown, but we don’t fear the unknown. Why is that? Because we have God. We have God in our hearts. We have something to lean on. So, no matter what issues we encounter, we’re not afraid; we have something to lean on and we have motivation. We’re not like non-believers—they are helpless, they’re constantly running around, and they’re constantly afraid of what might happen. They don’t want to get into a car accident, they don’t want to provoke a lawsuit or a quarrel, they don’t want to offend their boss, colleagues, relatives, or people who are useful to them, they don’t want to run into any disasters…. They are wound up tightly in their hearts every day, fearing that these things might happen. They don’t have God in their hearts, so they seem pathetic, helpless, and with nothing to lean on. We’re different. We don’t need to fear those things; God is supreme, He is our Lord, we can lean on Him, He is our Rock. God has already told us the principles of what we should practice when we encounter an issue. We live our lives in the light, in peace. »
Li Yan a crié : ces paroles disent la vérité, elles lui ont permis de sortir de la dépression et de l’angoisse, et ont apporté de la lumière et de la joie dans sa vie. Quand elle pensait qu’elle a été trompée par la doctrine d’athéisme et sans Dieu était une vie de souffrance et sans espoir, elle n’avait aucune envie d’en revenir. Elle a remercié Dieu pour l’avoir accepté dans la maison de Dieu où elle a trouvé la joie et la paix. Elle a trouvé Dieu, Celui en qui elle pouvait avoir confiance toute sa vie ! Elle vivait dans la réalité les paroles de la Bible : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos »(Matthieu 11, 28). « Car mon joug est doux, et mon fardeau léger » (Matthieu 11, 30). « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus Christ » (Philippiens 4, 6 – 7).
Traduction par Barrack Onyango
Source: L'Évangile de Dieu
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