Grâce à Dieu que j’ai cessé de m’inquiéter au sujet de l’argent
À cause de sa famille pauvre, elle a souffert d’être rabaissée et raillée des autres à bien des égards dans son enfance. Après avoir grandi, elle est devenue masseuse. Elle travaillait jour et nuit pour avoir plus d’argent.
De nombreuses maladies se sont alors succédées, l’une après l’autre. Après qu’elle a commencé à croire en Dieu, grâce à la lecture des paroles de Dieu, elle a appris à marcher sur le vrai chemin de la vie.
Une fois, quand l’un de mes clients réguliers m’a rencontré, il m’a dit : « Waouh, tu as l’air très différent maintenant. Dans le passé, tu travaillais jour et nuit pour gagner l’argent, et avais l’air apathique. Mais maintenant, toute ton attitude mentale a changé et complètement différente d’avant. Comment l’as-tu fait ? » En entendant ces mots, j’ai rendu grâce à Dieu de tout mon cœur, avec des larmes qui coulaient à flots sur mes joues. Les scènes des jours passés ont défilé l’une après l’autre dans mon esprit …
Après l’obtention du diplôme du premier cycle du secondaire, je suis partie travailler. J’ai travaillé comme plongeuse, serveuse dans un restaurant, et plus tard j’ai travaillé dans une usine de chaussures. Pour y gagner plus d’argent, je me suis surchargée de travail chaque jour, parfois même jusqu’à 15 ou 16 heures. Pendant mon temps de travail, je devais être exposée à la colle toxique et l’usine était suffocante, ainsi au bout d’un certain temps, j’ai commencé à ressentir des vertiges et quelque chose n’allait pas avec mon sens d’odorat, mais à cause de l’argent, j’ai quand même serré les dents pour persévérer. De plus, je mangeais et m’habillais simplement pour économiser de l’argent. Cependant, même ainsi, je n’avais toujours que peu d’économies à la fin de l’année. En faisant le décompte de l’argent que j’avais, j’étais anxieuse : si je continuais de cette façon, quand serais-je en mesure de mener une vie qui soit au-dessus des autres ?
Juste au moment où je sentais que mon avenir s’assombrissait, j’ai, par hasard, vu une école technique qui accueillait de nouveaux stagiaires, et je me suis fait inscrire à des cours pour apprendre le massage. En m’appliquant soigneusement aux études, je suis devenue une masseuse professionnelle, par la suite j’ai travaillé dans un grand salon de massage. Le salon employait beaucoup de travailleurs, de sorte que la concurrence était féroce. Pour garder mes clients, je devais user de toute mon énergie pour masser chacun d’entre eux. Puisque j’étais mince et faible, parfois à la fin de la journée, j’étais parfois trop épuisée pour lever le bras ou me retourner. Mais, pour gagner plus d’argent, je ne manquais jamais une journée de travail. De plus, aussi longtemps que mes collègues ne voulaient pas travailler, je couvrais leurs quarts de travail alors que j’étais en congé, et même s’il était minuit, j’allais pour ne pas perdre un seul client. En raison d’une longue période de privation de sommeil et d’une alimentation irrégulière, j’ai souffert d’une gastro-entérite et je ressentais toujours des douleurs dans ma poitrine en respirant. Parfois, mes mains me faisaient si mal que je ne pouvais même pas tenir des baguettes quand je voulais manger, et parfois j’avais tellement mal partout que je ne pouvais pas dormir. Toutes ces maladies et ces douleurs m’ont indescriptiblement fait souffrir. Mais à l’idée du grossissement de mon compte bancaire mois après mois, comme si donc je voyais une vie heureuse s’approchait de moi, j’étais toujours heureuse dans mon cœur et je sentais que cela en valait la peine.
En travaillant jour et nuit de cette façon, j’ai enfin pu faire des économies. Peu à peu, j’ai visité des salons de beauté, fréquenté des restaurants chics, et me suis aussi acheté des vêtements et des sacs à main de haute qualité. J’ai mené la vie que je souhaitais, une vie au-dessus des autres, et ma mère n’avais plus besoin de travailler dur. Quand je suis rentrée chez nous pour rendre visite à ma famille et mes amis, ils m’ont tous admirée et avaient une très haute considération de moi, ce qui m’a fait sentir particulièrement fière. Par la suite, voyant que certains d’entre eux s’étaient acheté des maisons et des voitures dans la ville, je n’ai pas voulu prendre du retard et je me suis aussi acheté une nouvelle maison par-là. Dès lors, mes années de travail acharné avaient finalement porté du fruit – j’avais une vie matérielle supérieure ainsi que le respect et l’admiration des autres. Cela a rassuré davantage en moi la croyance que l’argent parlait et que, sans argent, on ne pouvait rien faire.
Des années plus tard, j’ai planifié à nouveau mon avenir et décidé d’exploiter une petite entreprise dans ma ville natale avec mes économies. Mais par la suite seulement ma mère me dira que toutes mes économies avaient été perdues dans l’entreprise qu’elle exploitait jadis avec ses amis. Cette nouvelle me frappa comme un tonnerre dans un ciel clair au point que j’ai même voulu mourir. Je me suis incessamment plainte intérieurement de ma mère. « Des années de mes revenus durement économisés ont été gaspillées ; Que devrais-je faire dans l’avenir ? Sans argent, comment vais-je survivre ? » Durant cette période, je ne voulais ni manger, ni parler.Durant cette période, je ne voulais ni manger, ni parler. Je me sentais très déprimée et angoissée dans mon cœur. Ma mère, qui était sociable, a également souffert cruellement dans cette affaire, et est devenue taciturne. Après une période de découragement, j’ai décidé de me relever en partant de là où j’avais laissé tomber. Je me suis encouragée : « Tant que les collines verdoyantes perdureront, il y aura toujours du bois pour allumer le feu. Je suis encore jeune ; je vais sûrement récupérer mon argent ! » Dès lors, j’ai travaillé plus dur que jamais, et je ne suis même pas rentrée en famille pendant deux ans, de peur que la visite en famille ne m’empêche de gagner de l’argent.
Le deuxième jour, les sœurs de l’Église sont venues pour m’apporter l’évangile. Elles m’ont dit : « Dieu a créé les cieux, la terre, toutes choses, et nous les humains. Tout ce dont nous jouissons est accordé par Dieu. Au commencement, Dieu établit nos ancêtres, Adam et Ève, dans le jardin d’Éden, et tous les deux vécurent une vie sans souci. Mais plus tard, ils ont été séduits et corrompus par Satan, et donc ont été chassés du jardin d’Éden par Dieu. Depuis lors, nous, les humains, devions suer et travailler dur pour subvenir aux besoins de nos familles. Parce que nos cœurs se sont éloignés de Dieu, et que nous avons vécu sous la tromperie et la corruption de Satan, nous ne savons pas comment vivre une vie qui a de la valeur et du sens, mais ne savons que poursuivre l’argent et le désir charnel. Par conséquent, Les gens d’aujourd’hui mènent tous une vie lassante et misérable. La réalité est que le montant d’argent qu’on posséderait dans sa vie est déterminé par la souveraineté et les arrangements de Dieu. » Après avoir entendu leur partage, j’ai pensé qu’il était très réel et raisonnable. J’avais l’habitude d’entendre ma mère dire « le destin humain est ordonné des cieux, » je croyais donc aussi qu’il y a un Dieu qui préside à notre destin. Et, pensez à moi-même : Mon rêve était de gagner plus d’argent pour vivre une vie heureuse et j’avais travaillé dur pour le réaliser à tout moment. Mais juste à cause du mauvais investissement de ma mère, ma vie était de suite retournée à la case du départ. Cela m’a permis de voir que nous ne pouvons vraiment pas contrôler notre propre destin. Avant de partir, elles m’ont donné un livre « La Parole apparaît dans la chair », me recommandant de le lire davantage, et de prier Dieu, peu importe ce qui est arrivé.
Pendant cette période de temps, ma mère m’a conduite dans la lecture des paroles de Dieu et m’a appris à chanter quotidiennement des hymnes. Ce genre de vie était vraiment plaisante, et je me sentais toujours stable et paisible dans mon esprit. Alors, je dis à ma mère de croire sincèrement en Dieu. Mais quant à moi, qui était encore jeune, je voulais gagner plus d’argent d’abord, et ensuite, je croirais vraiment en Dieu avec elle. Un mois était très vite passé, et je devais reprendre mes occupations de travail comme une toupie tournante. Comme je ne comprenais pas assez de vérités et que je voulais toujours récupérer l’argent dont les autres avaient escroqué à ma mère, La croyance en Dieu est progressivement jetée derrière moi. Un matin, je me suis réveillée et j’ai ressenti une douleur vive dans mon bras gauche ; j’ai trouvé que je ne pouvais aucunement pas le bouger, ni bouger mes doigts ou même redresser mon pouce. J’ai eu peur et me suis empressée à visiter les médecins dans tous les hôpitaux de la ville, grands ou petits. Mais, ma maladie n’allait pas mieux. La douleur me harcelait tout le temps et je n’arrivais pas à dormir la nuit, mais ne pouvais que faire un va-et-vient incessant jusqu’au lever du jour. Sans aucun choix, j’ai dû arrêter mon travail et rentrer en famille pour me reposer pendant un certain temps.
Je suis rentrée chez nous et à la vue de ma mère, j’ai pleuré. Je lui ai demandé : si je devenais handicapée pour le reste de ma vie, comment gagnerais-je alors de l’argent ? En m’entendant le dire, elle a pleuré avec le cœur brisé et m’a dit : « Ma fille, c’est l’argent qui a causé tout cela. Pour gagner beaucoup d’argent et vivre une vie meilleure, j’ai investi tes économies durement gagnées, mais en conséquence, j’ai été presque ruinée financièrement. Tu as travaillé dur pendant ces années pour gagner plus d’argent, mais en fin de compte, tu as fini par contracter de nombreuses maladies à un si jeune âge. En fait, l’argent n’est qu’un appât de Satan pour nous piéger dans la poursuite de la richesse afin de nous nuire. »
Après avoir lu les paroles de Dieu et après avoir pensé à l’échange de ma mère tout à l’heure, j’ai enfin compris pourquoi je vivais dans une telle douleur. Tout cela était parce que j’avais accepté les philosophies et théories de Satan tels que « Homme sans argent est un loup sans dent » et « L’argent n’est pas tout, mais sans cela, on ne peut rien faire » comme mes lois de survie, je pensais que je ne pouvais pas vivre sans argent. Avec l’argent, je pourrais bien manger et bien m’habiller et avoir la matérielle assurée ; et qu’avec l’argent, je ne pourrais plus être sous-estimé mais être admirée par les autres. Mue par ces points de vue erronés, j’ai consacré tous mes efforts à faire de l’argent pendant ces années. Malgré les épreuves et la fatigue, je n’ai laissé passer aucune chance de gagner de l’argent tant que je vivais. Dans mon épuisement et faiblesse extrêmes, aussi longtemps que je pensais que le montant d’argent dans mon compte bancaire augmentait, je serais en mesure de tenir le coup. J’ai vu que l’argent avait totalement contrôlé ma vue sur la vie et sur les valeurs, et que j’étais déjà devenue la personne qui se souciait plus de l’argent que de la vie elle-même, et qui était devenue égoïste, méprisable et étroite d’esprit. Lorsque j’avais appris que mes économies de ces années s’étaient volatilisées à cause du mauvais investissement de ma mère, j’ai développé de la haine envers elle. Il s’est avéré que j’avais sans le savoir considéré l’argent comme le pilier de ma vie. Quand je compris ces facteurs et pensai à ma situation de santé actuelle, j’ai réalisé que je ne devais plus gâcher ma vie en échange d’argent, et j’ai décidé de prendre un repos pendant un certain temps. Alors, j’ai vécu une vie d’église avec des frères et des sœurs. Ce qui m’a excitée était que mes maladies, qui n’étaient pas guéries après avoir consulté des médecins pendant si longtemps, furent guéries avant que je m’en rende compte. J’ai senti que c’était la protection et le soin de Dieu à mon égard. Dieu soit loué !
Une fois, lors d’une réunion, une sœur a lu un passage des paroles de Dieu : « quand on a une propriété, on pense que l’argent est son pilier, qu’il est son actif dans la vie ; quand les gens ont un statut, ils s’y accrochent fermement et ils risqueraient leur vie pour cela. Ce n’est que lorsque les gens sont sur le point de quitter ce monde qu’ils se rendent compte que les choses qu’ils ont poursuivies toute leur vie ne sont que des nuages qui passent, auxquels ils ne peuvent s’accrocher, qu’ils ne peuvent pas emporter avec eux, qui ne peuvent pas les exempter de la mort, qui ne peuvent pas accompagner ni consoler une âme solitaire sur son chemin du retour ; et encore moins, qui ne peuvent pas sauver quelqu’un ni lui permettre de transcender la mort. La gloire et la fortune que l’homme gagne dans le monde matériel lui procurent une satisfaction temporaire, un plaisir qui passe, un faux sentiment d’aisance, et fait que l’on s’égare. Et ainsi les hommes, s’embourbant dans la vaste mer de l’humanité, étant en besoin de paix, de confort et de la tranquillité de cœur, sont sans cesse submergés sous les vagues. Comme les gens ont encore à discerner les questions les plus cruciales à comprendre — d’où ils viennent, pourquoi ils existent, où ils vont, et ainsi de suite —, ils sont séduits par la gloire et la fortune, induits en erreur, contrôlés par elles, irrévocablement perdus. »
Après avoir lu ce passage des paroles de Dieu, je fus profondément émue. Au début, je voulais juste vivre une vie où je n’avais pas besoin de me soucier de la nourriture et des vêtements ; mais quand mon niveau de vie s’est amélioré, j’étais prête à acheter une nouvelle maison ; et quand j’ai eu une nouvelle maison, je voulais atteindre un autre objectif… J’ai travaillé dur pour réaliser mes désirs et j’y ai perdu la tête, considérant l’argent comme mon seul objectif à poursuivre dans la vie, et même gagnant l’argent au détriment de ma santé. En conséquence, j’ai attrapé une gastropathie, une périarthrite scapulo-humérale, et la tendinite du muscle sus-épineux. Complètement disposée à être une machine à faire de l’argent, je n’avais aucune pensée dans mon esprit quel genre de vie avait du sens et de la valeur, et ce que l’homme devrait poursuivre dans sa vie, de sorte que lorsque ma mère m’annonçait l’évangile, mon cœur n’était pas disposé à écouter. Mais c’est seulement lorsque j’ai extrêmement souffert que j’ai expérimenté que les paroles de Dieu sur « les choses qu’ils ont poursuivies toute leur vie ne sont que des nuages qui passent, auxquels ils ne peuvent s’accrocher, qu’ils ne peuvent pas emporter avec eux » sont un fait réel. Grâces soient rendues à Dieu pour Sa conduite. Sans la révélation des paroles de Dieu qui m’ont fait comprendre que la vision que je poursuivais était une erreur, je passerais toute ma vie en vain.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai activement assisté aux réunions et lu les paroles de Dieu. Un sentiment de paix et de joie a inondé mon cœur, tel que je n’avais jamais goûté auparavant, et qui ne pouvait être acheté avec une chose matérielle. Grâces soient rendues à Dieu. Il me faut poursuivre la vérité sincèrement et emprunter le vrai chemin de la vie. Par la suite, j’ai quitté mon ancien emploi et j’en ai trouvé un autre qui était plus proche de chez moi pour me permettre de me réunir souvent avec les frères et sœurs.
Après avoir lu les paroles de Dieu, je compris pourquoi j’étais encore troublée par la tentation de Satan quand elle venait à moi. C’est parce que mes vues sur la vie humaine n’était pas encore transformées, et que je voulais encore vivre en fonction du point de vue de Satan selon lequel « l’argent n’est pas tout, mais sans cela, on ne peut rien faire. » J’ai fait une rétrospective dans le passé. Lorsque je ne connaissais pas la souveraineté de Dieu, je vivais selon les plans de Satan et comptais sur moi-même pour lutter et faire de l’argent. Même si j’avais eu le plaisir fugace et une dignité temporaire, qu’est-il arrivé ? J’ai été criblé de maladies à un si jeune âge, et je préférerais mourir. Quel était le sens, quelle était la valeur d’une telle vie ? Qu’est-ce qui était vraiment plus important, l’argent ou la vie ? J’ai également pensé à ces gens riches autour de moi. Certains prenais de la drogue, d’autres se faisaient au jeu, entretenaient des maîtresses ou des amants, d’autres se jetaient même par les immeubles à cause de la vanité… Même si ces gens avaient assez d’argent, leur vie était un vrai gâchis. Cela prouve à suffisance que la poursuite de la richesse n’est pas un bon chemin. En y réfléchissant, mon cœur s’est éveillé, et j’ai compris : obéir à Dieu, vénérer Dieu, et se sentir stable et paisible – c’est plus important que tout. J’ai également eu la volonté de renoncer à ma chair, de changer mes méthodes de survie qui appartenaient à Satan, d’apprendre à me soumettre à Dieu, et de laisser Dieu présider à mon avenir.
Lors des réunions, quand mon patron me rappelait au travail, je lui disais que j’étais occupée. Peu à peu, je n’étais plus contrôlée par l’argent et je me sentais énormément soulagée et heureuse dans mon cœur.
Une fois, quand l’un de mes clients réguliers m’a rencontré, il m’a dit : « Waouh, tu as l’air très différent maintenant. Dans le passé, tu travaillais jour et nuit pour gagner l’argent, et avais l’air apathique. Mais maintenant, toute ton attitude mentale a changé et complètement différente d’avant. Comment l’as-tu fait ? » En entendant ces mots, j’ai rendu grâce à Dieu de tout mon cœur, avec des larmes qui coulaient à flots sur mes joues. Les scènes des jours passés ont défilé l’une après l’autre dans mon esprit …
S’efforcer de venir à bout de la pauvreté
Mes parents n’étaient pas instruits et ne possédaient aucune maîtrise professionnelle, nous avons donc vécu une vie dure quand j’étais petite. À cause de la pauvreté, mes vêtements étaient généralement rapiécés, et mes camarades de classe se moquaient toujours de moi et me rabaissaient, ce qui causait beaucoup de mal à mon tendre cœur. Pour nourrir notre famille, mon père s’acharnait souvent à conduire le cyclo-pousse ; ma mère vendait du tofu tôt le matin jusqu’à tard le soir en hiver, quand la température était de moins vingt degrés et elle devenait souvent bleue et noire en raison du froid généralisé, mais elle n’arrivait toujours pas à gagner beaucoup d’argent. À cause de l’argent, ils avaient toujours les sourcils froncés d’inquiétude et des soupirs de désespoir. En voyant tout cela, je me sentais si mal et m’étais dit : Lorsque j’aurai grandi, je serai au-dessus des autres, ferai beaucoup d’argent, et leur offrirai une meilleure vie.Après l’obtention du diplôme du premier cycle du secondaire, je suis partie travailler. J’ai travaillé comme plongeuse, serveuse dans un restaurant, et plus tard j’ai travaillé dans une usine de chaussures. Pour y gagner plus d’argent, je me suis surchargée de travail chaque jour, parfois même jusqu’à 15 ou 16 heures. Pendant mon temps de travail, je devais être exposée à la colle toxique et l’usine était suffocante, ainsi au bout d’un certain temps, j’ai commencé à ressentir des vertiges et quelque chose n’allait pas avec mon sens d’odorat, mais à cause de l’argent, j’ai quand même serré les dents pour persévérer. De plus, je mangeais et m’habillais simplement pour économiser de l’argent. Cependant, même ainsi, je n’avais toujours que peu d’économies à la fin de l’année. En faisant le décompte de l’argent que j’avais, j’étais anxieuse : si je continuais de cette façon, quand serais-je en mesure de mener une vie qui soit au-dessus des autres ?
Juste au moment où je sentais que mon avenir s’assombrissait, j’ai, par hasard, vu une école technique qui accueillait de nouveaux stagiaires, et je me suis fait inscrire à des cours pour apprendre le massage. En m’appliquant soigneusement aux études, je suis devenue une masseuse professionnelle, par la suite j’ai travaillé dans un grand salon de massage. Le salon employait beaucoup de travailleurs, de sorte que la concurrence était féroce. Pour garder mes clients, je devais user de toute mon énergie pour masser chacun d’entre eux. Puisque j’étais mince et faible, parfois à la fin de la journée, j’étais parfois trop épuisée pour lever le bras ou me retourner. Mais, pour gagner plus d’argent, je ne manquais jamais une journée de travail. De plus, aussi longtemps que mes collègues ne voulaient pas travailler, je couvrais leurs quarts de travail alors que j’étais en congé, et même s’il était minuit, j’allais pour ne pas perdre un seul client. En raison d’une longue période de privation de sommeil et d’une alimentation irrégulière, j’ai souffert d’une gastro-entérite et je ressentais toujours des douleurs dans ma poitrine en respirant. Parfois, mes mains me faisaient si mal que je ne pouvais même pas tenir des baguettes quand je voulais manger, et parfois j’avais tellement mal partout que je ne pouvais pas dormir. Toutes ces maladies et ces douleurs m’ont indescriptiblement fait souffrir. Mais à l’idée du grossissement de mon compte bancaire mois après mois, comme si donc je voyais une vie heureuse s’approchait de moi, j’étais toujours heureuse dans mon cœur et je sentais que cela en valait la peine.
En travaillant jour et nuit de cette façon, j’ai enfin pu faire des économies. Peu à peu, j’ai visité des salons de beauté, fréquenté des restaurants chics, et me suis aussi acheté des vêtements et des sacs à main de haute qualité. J’ai mené la vie que je souhaitais, une vie au-dessus des autres, et ma mère n’avais plus besoin de travailler dur. Quand je suis rentrée chez nous pour rendre visite à ma famille et mes amis, ils m’ont tous admirée et avaient une très haute considération de moi, ce qui m’a fait sentir particulièrement fière. Par la suite, voyant que certains d’entre eux s’étaient acheté des maisons et des voitures dans la ville, je n’ai pas voulu prendre du retard et je me suis aussi acheté une nouvelle maison par-là. Dès lors, mes années de travail acharné avaient finalement porté du fruit – j’avais une vie matérielle supérieure ainsi que le respect et l’admiration des autres. Cela a rassuré davantage en moi la croyance que l’argent parlait et que, sans argent, on ne pouvait rien faire.
Des années plus tard, j’ai planifié à nouveau mon avenir et décidé d’exploiter une petite entreprise dans ma ville natale avec mes économies. Mais par la suite seulement ma mère me dira que toutes mes économies avaient été perdues dans l’entreprise qu’elle exploitait jadis avec ses amis. Cette nouvelle me frappa comme un tonnerre dans un ciel clair au point que j’ai même voulu mourir. Je me suis incessamment plainte intérieurement de ma mère. « Des années de mes revenus durement économisés ont été gaspillées ; Que devrais-je faire dans l’avenir ? Sans argent, comment vais-je survivre ? » Durant cette période, je ne voulais ni manger, ni parler.Durant cette période, je ne voulais ni manger, ni parler. Je me sentais très déprimée et angoissée dans mon cœur. Ma mère, qui était sociable, a également souffert cruellement dans cette affaire, et est devenue taciturne. Après une période de découragement, j’ai décidé de me relever en partant de là où j’avais laissé tomber. Je me suis encouragée : « Tant que les collines verdoyantes perdureront, il y aura toujours du bois pour allumer le feu. Je suis encore jeune ; je vais sûrement récupérer mon argent ! » Dès lors, j’ai travaillé plus dur que jamais, et je ne suis même pas rentrée en famille pendant deux ans, de peur que la visite en famille ne m’empêche de gagner de l’argent.
Le salut de Dieu m’est parvenu au milieu du vortex d’argent
Un jour, ma mère m’a téléphoné pour tout joyeusement me dire qu’elle avait reçu une nouvelle de grande importance pour moi, et m’a demandé de rentrer à la maison. J’ai donc demandé à mon patron un congé d’un mois. Quand je suis arrivée à la maison, j’ai remarqué que ma mère avait l’air d’avoir été changée en une personne différente : Elle souriait davantage, adoptait une attitude positive à l’égard des choses, et avait une meilleure perception mentale. J’étais curieuse de savoir comment, en deux ans, elle était parvenue à un si grand changement. Quand je lui ai demandé, elle m’a dit qu’elle avait accepté l’évangile du royaume de Dieu ; c’était les paroles de Dieu qui l’avaient changée.Le deuxième jour, les sœurs de l’Église sont venues pour m’apporter l’évangile. Elles m’ont dit : « Dieu a créé les cieux, la terre, toutes choses, et nous les humains. Tout ce dont nous jouissons est accordé par Dieu. Au commencement, Dieu établit nos ancêtres, Adam et Ève, dans le jardin d’Éden, et tous les deux vécurent une vie sans souci. Mais plus tard, ils ont été séduits et corrompus par Satan, et donc ont été chassés du jardin d’Éden par Dieu. Depuis lors, nous, les humains, devions suer et travailler dur pour subvenir aux besoins de nos familles. Parce que nos cœurs se sont éloignés de Dieu, et que nous avons vécu sous la tromperie et la corruption de Satan, nous ne savons pas comment vivre une vie qui a de la valeur et du sens, mais ne savons que poursuivre l’argent et le désir charnel. Par conséquent, Les gens d’aujourd’hui mènent tous une vie lassante et misérable. La réalité est que le montant d’argent qu’on posséderait dans sa vie est déterminé par la souveraineté et les arrangements de Dieu. » Après avoir entendu leur partage, j’ai pensé qu’il était très réel et raisonnable. J’avais l’habitude d’entendre ma mère dire « le destin humain est ordonné des cieux, » je croyais donc aussi qu’il y a un Dieu qui préside à notre destin. Et, pensez à moi-même : Mon rêve était de gagner plus d’argent pour vivre une vie heureuse et j’avais travaillé dur pour le réaliser à tout moment. Mais juste à cause du mauvais investissement de ma mère, ma vie était de suite retournée à la case du départ. Cela m’a permis de voir que nous ne pouvons vraiment pas contrôler notre propre destin. Avant de partir, elles m’ont donné un livre « La Parole apparaît dans la chair », me recommandant de le lire davantage, et de prier Dieu, peu importe ce qui est arrivé.
Pendant cette période de temps, ma mère m’a conduite dans la lecture des paroles de Dieu et m’a appris à chanter quotidiennement des hymnes. Ce genre de vie était vraiment plaisante, et je me sentais toujours stable et paisible dans mon esprit. Alors, je dis à ma mère de croire sincèrement en Dieu. Mais quant à moi, qui était encore jeune, je voulais gagner plus d’argent d’abord, et ensuite, je croirais vraiment en Dieu avec elle. Un mois était très vite passé, et je devais reprendre mes occupations de travail comme une toupie tournante. Comme je ne comprenais pas assez de vérités et que je voulais toujours récupérer l’argent dont les autres avaient escroqué à ma mère, La croyance en Dieu est progressivement jetée derrière moi. Un matin, je me suis réveillée et j’ai ressenti une douleur vive dans mon bras gauche ; j’ai trouvé que je ne pouvais aucunement pas le bouger, ni bouger mes doigts ou même redresser mon pouce. J’ai eu peur et me suis empressée à visiter les médecins dans tous les hôpitaux de la ville, grands ou petits. Mais, ma maladie n’allait pas mieux. La douleur me harcelait tout le temps et je n’arrivais pas à dormir la nuit, mais ne pouvais que faire un va-et-vient incessant jusqu’au lever du jour. Sans aucun choix, j’ai dû arrêter mon travail et rentrer en famille pour me reposer pendant un certain temps.
Je suis rentrée chez nous et à la vue de ma mère, j’ai pleuré. Je lui ai demandé : si je devenais handicapée pour le reste de ma vie, comment gagnerais-je alors de l’argent ? En m’entendant le dire, elle a pleuré avec le cœur brisé et m’a dit : « Ma fille, c’est l’argent qui a causé tout cela. Pour gagner beaucoup d’argent et vivre une vie meilleure, j’ai investi tes économies durement gagnées, mais en conséquence, j’ai été presque ruinée financièrement. Tu as travaillé dur pendant ces années pour gagner plus d’argent, mais en fin de compte, tu as fini par contracter de nombreuses maladies à un si jeune âge. En fait, l’argent n’est qu’un appât de Satan pour nous piéger dans la poursuite de la richesse afin de nous nuire. »
Les paroles de Dieu m’ont révélé mes vues erronées sur la poursuite de la vie
Ma mère m’a lu un passage des paroles de Dieu : « Homme sans argent est un loup sans dent » est la philosophie de Satan et elle prévaut dans toutes les sociétés humaines. Vous pourriez dire que c’est une tendance parce qu’il a été communiqué à tous les hommes et qu’il est maintenant fixé dans leur cœur. Les hommes sont passés du refus de ce dicton à s’y habituer de telle sorte que lorsqu’ils ont rencontré la vie réelle, ils lui ont progressivement donné leur approbation implicite, ont reconnu son existence et, enfin, ils lui ont donné leur propre sceau d’approbation. Est-ce vrai ? (Oui.) Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? […] Quelque chose est révélé par le tempérament humain des gens dans ce monde, y compris vous-mêmes ici présents. Comment cela est-il interprété ? C’est le culte de l’argent. Est-il difficile d’enlever cela du cœur de quelqu’un ? C’est très difficile ! Il semble que la corruption de l’homme par Satan est rigoureuse, en effet ! Pouvons-nous dire cela ? (Oui.) Alors, après que Satan utilise cette tendance pour corrompre les gens, comment est-ce manifesté en eux ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre un jour dans ce monde sans argent, que même un jour serait tout simplement impossible ? (Oui.) Le statut des gens est basé sur le montant d’argent qu’ils possèdent, tout comme leur respectabilité. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? Les gens ne considèrent-ils pas qu’obtenir de l’argent n’a pas de prix ? Beaucoup de gens ne sacrifient-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? »Après avoir lu les paroles de Dieu et après avoir pensé à l’échange de ma mère tout à l’heure, j’ai enfin compris pourquoi je vivais dans une telle douleur. Tout cela était parce que j’avais accepté les philosophies et théories de Satan tels que « Homme sans argent est un loup sans dent » et « L’argent n’est pas tout, mais sans cela, on ne peut rien faire » comme mes lois de survie, je pensais que je ne pouvais pas vivre sans argent. Avec l’argent, je pourrais bien manger et bien m’habiller et avoir la matérielle assurée ; et qu’avec l’argent, je ne pourrais plus être sous-estimé mais être admirée par les autres. Mue par ces points de vue erronés, j’ai consacré tous mes efforts à faire de l’argent pendant ces années. Malgré les épreuves et la fatigue, je n’ai laissé passer aucune chance de gagner de l’argent tant que je vivais. Dans mon épuisement et faiblesse extrêmes, aussi longtemps que je pensais que le montant d’argent dans mon compte bancaire augmentait, je serais en mesure de tenir le coup. J’ai vu que l’argent avait totalement contrôlé ma vue sur la vie et sur les valeurs, et que j’étais déjà devenue la personne qui se souciait plus de l’argent que de la vie elle-même, et qui était devenue égoïste, méprisable et étroite d’esprit. Lorsque j’avais appris que mes économies de ces années s’étaient volatilisées à cause du mauvais investissement de ma mère, j’ai développé de la haine envers elle. Il s’est avéré que j’avais sans le savoir considéré l’argent comme le pilier de ma vie. Quand je compris ces facteurs et pensai à ma situation de santé actuelle, j’ai réalisé que je ne devais plus gâcher ma vie en échange d’argent, et j’ai décidé de prendre un repos pendant un certain temps. Alors, j’ai vécu une vie d’église avec des frères et des sœurs. Ce qui m’a excitée était que mes maladies, qui n’étaient pas guéries après avoir consulté des médecins pendant si longtemps, furent guéries avant que je m’en rende compte. J’ai senti que c’était la protection et le soin de Dieu à mon égard. Dieu soit loué !
Une fois, lors d’une réunion, une sœur a lu un passage des paroles de Dieu : « quand on a une propriété, on pense que l’argent est son pilier, qu’il est son actif dans la vie ; quand les gens ont un statut, ils s’y accrochent fermement et ils risqueraient leur vie pour cela. Ce n’est que lorsque les gens sont sur le point de quitter ce monde qu’ils se rendent compte que les choses qu’ils ont poursuivies toute leur vie ne sont que des nuages qui passent, auxquels ils ne peuvent s’accrocher, qu’ils ne peuvent pas emporter avec eux, qui ne peuvent pas les exempter de la mort, qui ne peuvent pas accompagner ni consoler une âme solitaire sur son chemin du retour ; et encore moins, qui ne peuvent pas sauver quelqu’un ni lui permettre de transcender la mort. La gloire et la fortune que l’homme gagne dans le monde matériel lui procurent une satisfaction temporaire, un plaisir qui passe, un faux sentiment d’aisance, et fait que l’on s’égare. Et ainsi les hommes, s’embourbant dans la vaste mer de l’humanité, étant en besoin de paix, de confort et de la tranquillité de cœur, sont sans cesse submergés sous les vagues. Comme les gens ont encore à discerner les questions les plus cruciales à comprendre — d’où ils viennent, pourquoi ils existent, où ils vont, et ainsi de suite —, ils sont séduits par la gloire et la fortune, induits en erreur, contrôlés par elles, irrévocablement perdus. »
Après avoir lu ce passage des paroles de Dieu, je fus profondément émue. Au début, je voulais juste vivre une vie où je n’avais pas besoin de me soucier de la nourriture et des vêtements ; mais quand mon niveau de vie s’est amélioré, j’étais prête à acheter une nouvelle maison ; et quand j’ai eu une nouvelle maison, je voulais atteindre un autre objectif… J’ai travaillé dur pour réaliser mes désirs et j’y ai perdu la tête, considérant l’argent comme mon seul objectif à poursuivre dans la vie, et même gagnant l’argent au détriment de ma santé. En conséquence, j’ai attrapé une gastropathie, une périarthrite scapulo-humérale, et la tendinite du muscle sus-épineux. Complètement disposée à être une machine à faire de l’argent, je n’avais aucune pensée dans mon esprit quel genre de vie avait du sens et de la valeur, et ce que l’homme devrait poursuivre dans sa vie, de sorte que lorsque ma mère m’annonçait l’évangile, mon cœur n’était pas disposé à écouter. Mais c’est seulement lorsque j’ai extrêmement souffert que j’ai expérimenté que les paroles de Dieu sur « les choses qu’ils ont poursuivies toute leur vie ne sont que des nuages qui passent, auxquels ils ne peuvent s’accrocher, qu’ils ne peuvent pas emporter avec eux » sont un fait réel. Grâces soient rendues à Dieu pour Sa conduite. Sans la révélation des paroles de Dieu qui m’ont fait comprendre que la vision que je poursuivais était une erreur, je passerais toute ma vie en vain.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai activement assisté aux réunions et lu les paroles de Dieu. Un sentiment de paix et de joie a inondé mon cœur, tel que je n’avais jamais goûté auparavant, et qui ne pouvait être acheté avec une chose matérielle. Grâces soient rendues à Dieu. Il me faut poursuivre la vérité sincèrement et emprunter le vrai chemin de la vie. Par la suite, j’ai quitté mon ancien emploi et j’en ai trouvé un autre qui était plus proche de chez moi pour me permettre de me réunir souvent avec les frères et sœurs.
Lorsque la tentation de Satan est venue sur moi, j’ai cherché la vérité
J’étais disposée à poursuivre la vérité, mais presque chaque fois que j’avais une réunion avec les frères et sœurs, mon patron me rappelait au travail. À ce moment-là, je me sentais malheureuse et mon cœur était en conflit, en pensant : « Si je ne pars pas, je vais perdre mes clients, et plus tard, je n’aurais aucune source de revenu. Je veux par contre aussi assister aux réunions. » Plusieurs fois, bien que j’assistais aux réunions, je n’avais pas la tranquillité de cœur et mon esprit s’assombrissait peu à peu. En larmes, j’ai prié à Dieu : « Oh, Dieu ! Je suis sérieusement en détresse maintenant. Je sais clairement que Satan utilise l’argent pour m’attirer loin de Toi. Je veux me débarrasser de lui, mais je suis trop faible pour me libérer de l’attrait de l’argent. Dieu ! Veuille me sauver… » Après avoir prié, je me sentais un peu plus calme, puis j’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « Quand on n’a pas Dieu, quand on ne peut pas Le voir, quand on ne peut pas reconnaître clairement la souveraineté de Dieu, chaque jour est vide de sens, sans valeur, misérable. Partout où l’on est, quel que soit son travail, ses moyens de subsistance et la poursuite de ses objectifs n’apportent que du chagrin sans fin et de la souffrance affligeante, au point que l’on ne peut pas supporter de regarder en arrière. Ce n’est qu’acceptant la souveraineté du Créateur, en se soumettant à Ses orchestrations et arrangements, et en cherchant la vraie vie humaine, que l’on se libérera progressivement de toute peine et de toute souffrance et que l’on éliminera tout le néant de la vie. […] Une fois que tu le reconnais, ta tâche est de mettre de côté ton ancienne vision de la vie, de te garder loin de différents pièges, de laisser Dieu piloter ta vie et l’arranger pour toi, d’essayer simplement de te soumettre aux orchestrations et à la direction de Dieu, de ne pas avoir le choix, et de devenir une personne qui adore Dieu .»Après avoir lu les paroles de Dieu, je compris pourquoi j’étais encore troublée par la tentation de Satan quand elle venait à moi. C’est parce que mes vues sur la vie humaine n’était pas encore transformées, et que je voulais encore vivre en fonction du point de vue de Satan selon lequel « l’argent n’est pas tout, mais sans cela, on ne peut rien faire. » J’ai fait une rétrospective dans le passé. Lorsque je ne connaissais pas la souveraineté de Dieu, je vivais selon les plans de Satan et comptais sur moi-même pour lutter et faire de l’argent. Même si j’avais eu le plaisir fugace et une dignité temporaire, qu’est-il arrivé ? J’ai été criblé de maladies à un si jeune âge, et je préférerais mourir. Quel était le sens, quelle était la valeur d’une telle vie ? Qu’est-ce qui était vraiment plus important, l’argent ou la vie ? J’ai également pensé à ces gens riches autour de moi. Certains prenais de la drogue, d’autres se faisaient au jeu, entretenaient des maîtresses ou des amants, d’autres se jetaient même par les immeubles à cause de la vanité… Même si ces gens avaient assez d’argent, leur vie était un vrai gâchis. Cela prouve à suffisance que la poursuite de la richesse n’est pas un bon chemin. En y réfléchissant, mon cœur s’est éveillé, et j’ai compris : obéir à Dieu, vénérer Dieu, et se sentir stable et paisible – c’est plus important que tout. J’ai également eu la volonté de renoncer à ma chair, de changer mes méthodes de survie qui appartenaient à Satan, d’apprendre à me soumettre à Dieu, et de laisser Dieu présider à mon avenir.
Lors des réunions, quand mon patron me rappelait au travail, je lui disais que j’étais occupée. Peu à peu, je n’étais plus contrôlée par l’argent et je me sentais énormément soulagée et heureuse dans mon cœur.
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